Nom ; Matsushime (il se compose du kanji du pin (松) qui garde sa prononciation courante, et de la succession des chiffres 7 (七), 5 (五) et 3 (三) qui n'a absolument pas une prononciation habituelle. La lecture peu commune de cette suite de chiffres a été choisie pour porter bonheur) Prénom ; Reita signifie grande sagesse... Mais son surnom " Rei" signifie 0.
Date de naissance ; 27/08/1997 Âge ; 24 ans Lieu de naissance ; Minobu dans la préfecture de Yamanashi au Japon
Race ; Humain Genre ; Masculin Orientation sexuelle ; Homo refoulé, Hétéro affirmé
Situation ; Célibataire, mais avec des prétendantes Occupation(s) ; Professeur d'histoire et de géographie
Passes-temps ; Kung-fu, dessin (surtout lorsqu'il était étudiant, ça l'aidait à s'évader), la littérature (historique, des essais philosophiques, des poèmes, des romans), l'art en général, la mode (il aime porter des vêtements à la mode mais déteste le shopping), les échecs,coudre, tricoter, faire du ménage, prendre des bains, dormir, et l'ikebana (ou l'art de faire vivre les fleurs) Rêve(s) ; Ses rêves lorsqu'il était plus jeune était de devenir tatoueur ou mangaka... Aujourd'hui, il aimerait surtout pouvoir voyager sur des lieux historiques importants et revivre l'histoire.
Défauts
Un peu de musique pour toute cette lecture ~> https://www.youtube.com/watch?v=ZfcDltuFpFM
Anxieux : Reita fait partie de ces personnes extrêmement stressée, angoissée qui ont 1000 et une phobies. Il est impossible pour lui de prendre l'avion car "l'être humain n'est pas fait pour voler" , et puis si c'est pour finir dévoré vivant par un requin longimane après s'être crashé... Qu'en est-il des grandes étendues d'eau ?... Il est thalassophobe, il lui sera donc totalement impossible de s'immerger au beau milieu de la mer.
Mais alors le sang ? Eh bien en petite quantité (de l'ordre d'une petite coupure), ça le rend fortement mal à l'aise. Et en grande quantité... Il tournera tout bonnement de l'oeil... Ou il rendra son déjeuner. Ou les deux. Et si ce n'était que ça, il a peur du vide, peur des insectes (ou des animaux en général), peur de la foule, peur des grands espaces, peur du noir... Parfois il se découvre même des peurs. Lorsqu'il était jeune, on le surnommait Super Peureux... Eh bien, ça n'a toujours pas changé.
Distrait : Reita aime rêver. Il rêve d'un monde futuriste, ou fantasy. Il pense, réfléchit... En bref, il a très souvent la tête dans les nuages, à penser à beaucoup de choses... Parfois pertinentes, parfois non. Ce qui aura l'occasion d'accroître sa froussardise, il sursaute très facilement. S'il était cardiaque, il ne serait plus de ce monde.
Emotif : Reita n'est pas un coeur de pierre, bien au contraire. Doté d'une très grande empathie, ce trait de caractère le dessert parfois. Il pleure beaucoup, souffre également beaucoup de la souffrance d'autrui. Il n'aime pas ressentir autant d'émotion et cherche toujours à se protéger, sans beaucoup de succès.
Hypocrite (surtout envers lui-même): Reita ne dira pas toujours ce qu'il pense. Pas par volonté de mensonge, mais plus par désir de protection. Si par exemple il devait se trouver dans une situation blessante, il ne le fera pas savoir et gardera pour lui ses ressentis.
Indécis : Rouge ? Noir ?... Ou peut-être bleu ? Reita se décide difficilement. Il a du mal à prendre des décisions, alors heureusement pour lui -ou malheureusement, le destin se charge bien souvent de prendre la décision à sa place.
Maladroit : En une seule journée, Reita a déjà été capable de se casser le poignet, se tordre la cheville, se brûler, se couper, tomber dans les escaliers et se faire gifler dans le métro. Et tout ça à différents moments de la journée... Non vraiment, lorsque le karma le poursuit, il vaut mieux ne pas traîner avec lui...
Maniaque : Quand quelque chose est sale, ou n'est PAS à sa place, Reita sent une forte démangeaison (totalement imaginaire) le grattouiller encore et encore. Il faut que tout soit parfaitement ordonné, aligné, nettoyé autour de lui, sinon devinez quoi ? Il angoisse crescendo.
Méfiant : Reita est relativement méfiant. Il ne fait pas confiance au premier venu, ou à n'importe laquelle des situations, mais il est capable de soupeser ses avis.
Pas bon cuisinier : Si vous n'avez d'autres choix que de manger de la nourriture préparée par Reita... FUYEZ PAUVRES FOUS ! Il ne sait pas doser, il ne sait pas remuer, il ne connaît pas les mélanges utilisés habituellement en cuisine... PIRE ! Il est tellement distrait qu'il fait quasi systématiquement brûler ses plats. Et parfois, il lui est arrivé qu'on lui dise que son plat était meilleur avec le goût de brûlé que sans...
Pas sûr de lui : Reita n'est pas du tout une personne sûre d'elle. Pourtant c'est ce qu'il dégage en général. Sa démarche, son expression faciale, sa voix... Rien ne laisse entrevoir ses nombreuses failles (ou ça arrive rarement et souvent avec des proches). Et pourtant, il n'a pas confiance en lui, en son physique, en son intelligence. Il a toujours été ainsi, et ça ne changera pas de sitôt.
Pessimiste : Reita s'inquiète, ce n'est pas nouveau. Il s'inquiète pour le présent, pour le futur, chaque heure durant. Et il est toujours secrètement convaincu qu'il n'est pas réellement capable de bien faire les choses. Tout du moins, il est quasi sûr qu'il le fera toujours moins bien que quelqu'un d'autre.
Plaintif : "C'est sale" , " ça sent mauvais" , " ça gratte" ... Reita a tendance à se plaindre... La seule chose pour laquelle il ne le fait pas, c'est la douleur.
Pointilleux : Reita adore que tout concorde, au détail près. Il est très appliqué et parfois à outrance. Ça lui a déjà fait défaut, mais jamais de manière très grave.
Pudique : Il a énormément de difficultés à se montrer nu, à se voir nu, et encore plus à voir les autres nus. Femmes et hommes compris. C'est quelque chose qui le dégoûte en règle générale, et qui le gêne atrocement. Il ne trouve pas que la nudité soit belle, sauf sur des personnes qui l'attirent, et encore. Il n’aime pas non plus qu’un ou qu’une inconnu(e) le touche… Mais le problème, c’est qu’il adore les onsens…
Renfermé : Ce n'est pas le genre de Reita de partager ses ressentis. Il n'aime pas ça, c'est intime. Ainsi, dire "je t'aime" est quelque chose qu'il n'a que très peu dit. Il le regrette d'ailleurs.
Routinier : Reita ne l'est pas à outrance, mais il apprécie ses habitudes et avoir ses petits repères. Se lever, donner à manger au chat, faire chauffer son thé, aérer son appartement, écouter la radio classique en relisant tranquillement ses cours... Ce n'est pas quelque chose qui l'angoisse, étonnamment.
Susceptible : Même si en général, son entourage a l'impression que tout glisse sur lui, Reita l'est. Mais il ne le dit pas tout simplement.
Timide : Oh oui... Il rougira assez facilement, pour des situations pas forcément gênantes. Et lorsqu'il rougit... Son teint ne lui fait aucun cadeau, il devient plus rouge que la plus rouge des tomates. C'est quelque chose que ses collègues féminines trouvent parfois mignon... Elles lui en font toujours part, et c'est également quelque chose qui met terriblement Reita mal à l'aise. Il rougit encore plus lorsqu'une femme le drague ou le complimente.
Toujours en retard : Ou presque toujours. Reita aime dormir à la base. Mais qu'il ait une panne d'oreiller ou non, qu'il soit parti en avance ou non, il arrive la plupart du temps en retard. Alors en sachant qu'il a peu de chance d'arriver à l'heure, il ne se presse pas plus que ça lorsqu'il a un rendez-vous.
Qualités
Autonome : Reita est débrouillard et est tout à fait capable de se gérer seul. C'était beaucoup plus compliqué au début de sa vie active, à cause de ses problèmes d'anxiété.
Apaisant : Incapable d'utiliser cette capacité sur lui-même, en revanche, il arrive plutôt bien à apaiser ses amis, ses collègues, et même ses élèves. Il ne le fait pas forcément exprès. Parfois il se rend tellement ridicule que toute la tension s'évacue... D'autres fois, c'est juste son aura qui est apaisante.
Attachant : Ses élèves l'apprécient assez et en règle général, lorsque le feeling passe bien, son entourage s'attache assez vite. En même temps, comment ne pas fondre devant un homme adulte rouge comme une tomate après un pauvre compliment, et qui vient de se manger une porte ? (sisi c'est attachant)
Bienveillant : Reita est quelqu'un de relativement gentil. Il aime faire le bien autour de lui, et essaye autant que possible d'être quelqu'un de juste et d'agréable.
Charismatique : Même si beaucoup déteste son physique, d'autres disent que son regard bleu presque translucide est hypnotique et qu'il se dégage de sa personne, un charisme et un charme sans égal. Il s'agit bien évidemment de ceux qui ne savent pas qu'il dort avec une veilleuse, blottit contre un gros ours en peluche et qu'il crie lorsqu’une araignée le côtoie de trop près.
Compréhensif : Reita est plus de ceux qui réfléchissent avant de parler. Avant de juger, il essaye toujours de comprendre l'autre, de se questionner sur le pourquoi du comment. Parfois il n'y arrive pas, mais en général, il arrive à comprendre un peu tout le monde. Cette tolérance et ouverture d'esprit lui a beaucoup apporté.
Courageux et combatif : étonnant n'est-ce pas ? Reita lui-même ne comprend pas comment il peut braver le danger dans ce genre de situation. Sans doute l'adrénaline... Parce qu'une fois que cette substance disparaît de son corps, il pourrait trembler comme une feuille, s'il ne se figeait pas comme une statue.
Cultivé : Reita adore se cultiver. Lire des livres, écouter et participer à des discussions, ou même se rendre dans des galeries d'Art (désertes, ça va sans dire), des musées ou des théâtres, il adore. S'il pouvait, et s'il n'aimait pas autant son travail d'enseignant, il passerait son temps à flâner dans ce genre d'endroits.
Délicat : Sensible aux tissus de mauvaise qualité, aux mauvaise odeurs, au bruit, à la violence... Reita est quelqu'un doté d'une grande délicatesse. Il évitera au possible ce genre d'inconfort.
Discret : N'aime pas attirer l'attention par sa manière d'être. Il ne parle pas particulièrement fort et n'est pas extravagant en public. Pourtant, il attire l'attention malgré lui de par son apparence... Atypique.
Eloquent : Reita peut être éloquent lorsque la situation s'y prête. Un petit groupe, ou alors lorsqu'il fait quelque chose qu'il aime énormément. Comme son travail.
Généreux : Cet altruisme lui vient directement de son père. Reita est incapable de ne pas aider son prochain. Ça lui a déjà joué plus d’un tour, mais il ne peut toujours pas s'en empêcher.
Intelligent : Reita est quelqu'un de lucide, d'astucieux et de sage avec une mémoire visuelle quasi photographique. Il a également été détecté assez tôt comme étant surdoué. Pourtant, même si ses parents en étaient particulièrement fiers, il a toujours vu dans ce diagnostic une volonté de le mettre à côté, à part.
Ordonné et organisé : Même si parfois c'est à outrance, Reita a une organisation exceptionnelle. Son appartement est parfaitement rangé et ordonné, de telle manière à ce qu'il soit un maximum fonctionnel et confortable. Et Reita pense ainsi pour tout. Le maître mot ? Prévoyance ! Et ça passe par le rangement de son sac à dos, à sa voiture, en passant par ses placards etc etc...
Paresseux : Reita adore dormir. Et il aime prendre son temps lorsque l'activité ne lui sied guère. Oh oui... Alors entre tranquillement lire un bouquin dans son lit, et faire un discours devant tout le lycée... Le choix est toujours vite fait (chaque année, il trouve un moyen de ne pas faire de discours lorsque c'est à son tours).
Prudent : Reita ne se mettra jamais consciemment dans le danger. Il est bien trop prudent pour ça. Traverser la chaussée sans regarder ? Rester à proximité d'un chien sans laisse ? Manger la nourriture qu'il a cuisiné ? Non non non. Il est prudent, et il tient à la vie.
Poli : Reita est comme bon nombre de japonais (en société tout du moins) respectueux. Il fait toujours preuve de politesse et essaye de ne pas rendre les autres inconfortables. Taille ; 1m75 / Corpulence ; Musclé svelte / Cheveux ; Blanc / Yeux ; Bleus très clairs / Signes particuliers ; Il est albinos et évite au maximum tout contact avec le soleil (surtout sans protection). Il est percé aux oreilles et à la lèvre, et est tatoué dans le dos et sur les côtes. 17 août 2001, Temple Matsushime à Minobu, préfecture de Yamanashi.
« Ce temple tu sais… C’était toute ma vie. Je l’ai aimé de tout mon cœur, Reita. Et vous aussi je vous ai aimé de tout mon cœur également. Ce lieu est sacré bien entendu, mais il est également cher au cœur des Matsushime depuis des générations et des générations (lui et la relique, Tan'itsu no gisei (単一の犠牲) qu’il renferme en son sein). Nos ancêtres étaient des héros, des protecteurs qui mettaient toute leur énergie au service des autres. Aujourd’hui, le Japon n’a plus besoin de notre aide, mais de notre capacité à apaiser les mœurs et apporter du bonheur.
Ainsi, même si le chagrin te serrera sans doute le cœur à la lecture de cette lettre, j’espère qu’un jour cependant, tu seras apaisé, mon fils. La maladie m’a emporté, ce n’était qu’une question de temps finalement. Mais mon amour restera intact, que je sois avec toi ou non. Que je sois en vie ou pas. Ce qui compte, c’est ce qui nous a lié. Les liens, c’est ce qui nous fait vivre.
Le temple Matsushime, notre foyer, se lègue de père en fils, de moine en moine. Ou tout du moins, nous devenons moine de père en fils pour continuer à faire vivre ce temple. Je sais que tu es encore très jeune, mais tu es un petit garçon extrêmement intelligent également, et je compte sur ta mère pour t’expliquer les termes que tu ne comprendrais pas dans cette lettre. J’aimerai qu’un jour, lorsque tu seras en âge, que tu t’occupes toi aussi de ce temple.
Je t’aime mon fils, et sache que ceci n’est pas un adieu, tu ne quitteras jamais mon cœur.»
Cette lettre, je te l’avais écrite mais ta mère ne t’en as pas fait part tout de suite. En réalité, elle a été mise en boule dans un carton, sous tes doudous, tes jouets, tes cahiers et tes dessins. Après ma mort tout s’est accéléré. Mon enterrement, les factures… Vous n’avez pu rester que 2 ans, le temps que les gens fuient le Temple et arrêtent les dons suite aux évènements étranges et aux rumeurs. Le temple tomba très vite en ruine, et un incendie criminel l’acheva sans crier gare.
C’est ainsi qu’il a disparu. Si… Facilement ? Après tout ce qu’il nous avait apporté, à nous, simples mortels ?... Encore aujourd’hui, depuis là où je te regarde, je n’arrive pas à y croire. Ces soi-disant incidents qui étaient rapportés un peu partout autour du temple… Des chutes non expliquées dangereuses… ça ne pouvait pas être en lien avec nôtre temple.
J’ai vu ma mère, ta grand-mère, te prendre chez elle et prendre soin de toi pendant que ta mère finissait sa grossesse à l’hôpital. C’était une période lumineuse pour toi, maman a toujours su soigner avec des mots et beaucoup de tendresse. À ce moment-là, tu devais avoir 4 ans. La famille de ta mère est fortunée, peut-être qu’elle t’ouvrira des portes un jour… Tu dois savoir que ta mère a tout quitté pour me suivre dans ma vie monacale. Vivre et s’occuper du temple n’était pas simple pour elle, mais par amour, elle l’a accepté. C’est pour cette raison que sa famille a refusé plusieurs années de reprendre contact avec elle, lui coupant les vivres par la même occasion.
Durant ma vie, l’argent m’importait peu, tout ce que je désirais, c’était que le temple vive encore des siècles durant et votre bonheur… Mais ce n’était pas suffisant. Ta mère m’en a voulu, elle qui avait toujours vécu dans un milieu aisé.
Elle m’a suivi par amour, mais lorsque l’argent vient à manquer, et qu’un nouveau-né pousse son premier cri, sans père pour aider, tout ça ne suffit plus.
Ne lui en veut pas.
Je sais que quitter notre Temple, ce lieu où tu as fait pleins de souvenirs a été douloureux. Mais tu trouveras un autre foyer, tu verras. C’est d’ailleurs pour cela que ta mère est venue te chercher ce jour-là. Elle avait suffisamment récupéré de l’accouchement de ton cadet, et maman était trop vieille et fatiguée. Elle est allée dans une maison de retraite… Pour se reposer, tu ne pouvais pas rester à attendre son retour ni la suivre là-bas.
Ce déménagement à Fuji aurait dû t’être bénéfique. Je sais que c’était difficile, de devoir te teindre les cheveux régulièrement pour les avoirs noirs comme nous, d’aller souvent voir le médecin pour tes problèmes de santé, d’éviter le soleil, d’éviter de jouer avec les autres enfants dehors. Même si tu ne t’en doute pas, je te vois là d’où je suis, et je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour te guider, Reita.
Eh bien guide-moi, je t’en supplie.
15 mars 2003, Fuji, préfecture de Shizuoka.
Tu as toujours été différent, Reita. Encore plus aujourd’hui alors que tu n’as que 5 ans. Peu importe mes efforts pour te faire rentrer dans la société, c’est impossible. Comme si… Le mauvais œil n’avait fait que me suivre toutes ces années depuis ta naissance. Elever deux petits garçons, trouver un mari convenable avec une bonne situation qui vous accepterait… Comme si ça n’avait pas été assez difficile comme ça. Ta maladie, l’albinisme, cette maladie rare qui est tombée sur ma famille comme une malédiction… Dès ta naissance, tu ressemblais à un enfant maudis. Tu étais pâle comme un petit mort ayant revêtu la peau de mon fils avec ces yeux quasi translucides. Mais malgré cette différence, je t’aimais et je t’aimerais toujours Reita. Même si notre société n’est pas faite pour les personnes comme toi.
Ton intelligence était sans doute le seul moyen pour toi de trouver ta place. Et quelle intelligence ! Tu étais un excellent étudiant boursier (quand j’y repense, quelle honte qu’une personne de mon rang ait été obligée de m’abaisser à cela…), à chaque examen, tu étais à la première place. Pour cette raison-là, j’étais fière. Et uniquement pour cela (je suis ta mère, alors je me dois encore à ce jour d’être honnête avec toi). Même si j’ai toujours ce pincement au cœur en voyant ces cheveux blancs et ces yeux bleus, ça ne m’a pas empêchée d’être une bonne mère pour toi, n’est-ce pas ?
Bien que je sois fière de la mère que j’ai été, encore aujourd’hui, je me demande pourquoi tu m’en veux autant. Je t’emmenais chez le coiffeur à chaque fois que tes repousses blanches se voyaient, et je te faisais porter des lentilles pour enfants très chères pour protéger tes yeux et cacher la couleur de tes yeux anormale.
Je t’ai poussé à faire ce test d’aptitude, encadré par un psychologue lorsque tu as eu 1 an et demi. Malgré cette étrangeté dans ton sang, tu restais mon fils, et je savais que tu étais spécial. Après tout tu as commencé à balbutier des mots à un peu plus de 6 mois, commencé à parler à un peu plus d’un an, et tu es rentré à la maternelle à 2 ans. Tu faisais toujours les choses en avance des autres enfants. Tu as également été diplômé plus tôt, avec les félicitations du directeur de ton université. Que te fallait-il de plus pour être heureux ? Tu t’es intégré, tu as eu des amis, un travail, des petites amies, même avec ton physique. Je t’ai donné toutes les clefs du bonheur, et pourtant…
Sans cesse, je voyais cette souffrance dans ton regard… Je ne comprends pas.
Est-ce que ma différence est vraiment le seul obstacle, la seule barrière pour être comme toi ?
09 Octobre 2003, Fuji, préfecture de Shizuoka.
Après la mort de ton papa, et ton départ de la maison de ta mamie, tu étais tout seul. Oui, tu vivais avec ta maman, ton beau-père, et ton petit frère, mais tu étais seul. C’est ce que tu me répétais tout le temps. ‘’Kiro j’en ai assez de vivre dans cette famille. Ma mère ne m’aime pas, son mari est un étranger, et mon petit frère n’est qu’un gros bébé que tout le monde regarde ! J’aimerai partir à l’aventure et trouver un endroit où je ne serai pas bizarre.’’
Mais t’es pas bizarre ! La première fois que je t’ai vu, j’ai trouvé tes cheveux rigolos parce que j’avais jamais vu ça, mais maintenant j’aime bien, c’est comme si tu étais un héros de manga ! Je sais que tu fais beaucoup de cauchemars bizarres, lorsque tu me les raconte, je comprends pas tout, tu parles comme un grand parfois ! Mais ici, c’est moi le grand, j’ai 9 ans, bientôt 10 alors que toi tu es à 6 hé hé ! Pour tes cauchemars, une fois j’ai eu super peur, alors que je dormais dans ta maison, tu avais l’air de voir quelque chose dans la chambre, au pied du futon, alors qui y avait rien du tout !
Comme je suis ton meilleur ami, j’ai décidé qu’aujourd’hui, on devrait tenir notre promesse et partir à l’aventure ! Parce que… Moi aussi, ma vie est nulle. Ma mère est partie y’a longtemps, et mon père est tout le temps triste. Comme il est triste, il boit de l’alcool et ça pue… Et puis il me frappe… Il le fait que le vendredi pour que lundi il reste plus de trace sur mon corps et que je puisse aller à l’école.
J’étais triste moi aussi, mais je veux plus ! Alors viens avec moi Reirei ! À nous deux, on va aller construire une cabane loin des adultes pour vivre une vie meilleure dans le Mont Fuji !... Enfin… J’aurai aimé y aller avec toi. Je suis sûr que la cabane que j’aurai construit aurait été meilleure que la tienne…
Mais je suis mort. Ce n’est pas de ta faute… Mais je t’en veux. Je te déteste même. Parce que tu as survécu, et moi non. C’est pas juste… C’est… ! C’est pas… Juste !! Mais… C’était pas de ta faute. Il pleuvait beaucoup ce soir-là, il y avait de la boue partout. J’ai pas vu le trou, j’ai glissé… On est tombé alors qu’on marchait dans la forêt depuis… Longtemps. Tu as essayé de me retenir, c’est pour ça que t’es tombé aussi. Mais t’aurais jamais pu me soulever, t’étais trop petit. Trop faible.
Je suis pas mort tout de suite tu sais ? Le docteur et les policiers t’ont menti. Mais les adultes mentent toujours… Parce que ce sont des adultes, et nous des enfants. C’est injuste ça aussi. Je sais que tu fixais mon cadavre, que le sang que tu as vu cette nuit-là t’as marqué, et que tous ces jours passés à mes côtés en attendant les secours t’ont laissé une trace indélébile.
J’aurai dû mourir à ta place. Je suis sûr que tu aurais mené une vie d’homme bien à ma place Kiro.
27 Mars 2018, Tokyo
Matsushime-kun, heureusement que tu m’as finalement écouté. De ce que j’ai compris, ton histoire familiale avait toujours été relativement compliquée. Tu as encore aujourd’hui certains conflits avec ta mère, tu ne sembles pas être plus proche de ton beau-père et ton frère, tu l’as mentionné une fois vaguement. Quant à ton père, tu n’en as jamais parlé si je ne m’abuse. Pourtant, même si je suis ta professeure depuis ton entrée à la fac, nous avons abordé beaucoup de sujets anodins qui n’avaient pas grand-chose à voir avec ma matière d’enseignement.
Mais soit, mon rôle n’a jamais été de t’extirper ce genre d’informations personnelles. Ce que j’ai noté, c’est que depuis que tu vis seul (tu me l’avais annoncé à la fin d’un cours, que ton déménagement était enfin fini) et que tu as entamé tes études dans l’enseignement supérieur, tu es passé par beaucoup de phases. Tu n’as jamais manqué un seul cours, mais… Ton état lorsque tu te rendais à certains… Physiquement, tu n’avais pas l’air en forme, mais mentalement, tu avais l’air enlisé dans une profonde dépression.
Tu étais épuisé, tu avais beaucoup de choses à régler. Ton petit boulot de serveur dans ce restaurant franco-japonais, tes rêves d’adolescent que tu rayais définitivement… Car oui, cette fameuse après-midi où je t’avais croisé dans ce konbini non loin de la fac, tu m’avais également avoué au détour d’une conversation (et ça ne te ressemblais pas) que si tu aimais l’histoire et la géographie, le dessin était également l’une de tes passions. Le tatouage également. Être mangaka dans notre pays n’est absolument pas une valeur sûre, et les loyers sont cher à Tokyo… Mais devenir tatoueur et ouvrir ton propre salon t’aurais ramené une situation bien plus confortable.
J’ai beaucoup voyagé, en Europe notamment. Et je ne suis pas stupide au point de te traiter de voyou, juste parce que tu voulais faire ce métier de tatoueur, jugé comme étant illégal dans notre pays. Mais les personnes qui te proposaient de t’aider et te prêter tout cet argent… Tu m’en avais parlé sommairement, mais j’ai tout de même compris sans aucune difficulté que si tu t’associais à ce genre de personnages douteux, ta carrière de professeur avorterai dans l’œuf. À chaque fois que je le pouvais, après les cours, j’essayais, tout en respectant un maximum mon rôle de professeure, de t’ouvrir les yeux. Quel gâchis ça aurait été si tu avais plongé Matsushime-kun…
Ces fréquentations ‘’underground’’ toujours emmêlées avec la police étaient clairement une mauvaise chose (à tort ou à raison, je ne suis pas juge). Je n’ai jamais jugé les personnes qui ne trouvaient pas leur place dans la société sur leur physique ou leur situation… Mais toi, tu n’as jamais fait partie de leur monde. Le monde de la nuit, de la drogue, du jeu… Tu n’as pas eu besoin de m’en parler en détail, je ne suis pas née de la dernière pluie, mais sachant que tu n’avais pas vraiment besoin de remontrances frontales, je t’ai fait confiance, et j’ai eu raison. J’ai une très haute estime de toi Reita, tu feras un excellent professeur, c’est certain. Tu aimes énormément les enfants, l’histoire, la géographie… Quoi de mieux ?
Ces tatouages et ces piercings que tu t’es fait (ne sois pas surpris, ta meilleure amie en a parlé pas loin de moi pendant que je distribuais les copies, je ne suis pas encore assez vieille pour ne plus entendre une conversation mal chuchotée), importent peu. Ils ne sont pas visibles lorsque tu viens en cours, et tu es assez intelligent pour rester discret là-dessus (plus que ton amie en tout cas).
Alors continue comme ça. Tes rêves d’enfants ne seront peut-être pas réalisés, mais ton rêve d’adulte, si. Tu as réussi ton concours haut la main, comme d’habitude. Puis tu as passé ton année en tant que professeur stagiaire et validé ce stage. Maintenant, tu es un professeur à part entière, prêt à enseigner dans le lycée qui aura la chance de te recruter.
Je vais pouvoir te donner un conseil, l’unique qui peut-être outrepassera notre ancienne relation d’étudiant à professeur. En tant qu’actuelle collègue qui t’a connu alors que tu n’avais que 15 ans, je te dirai ceci : Cacher tout un pan de ta vie à ta mère (comme ces tatouages, ces piercings, le fait que tu arrêtes de te teindre les cheveux en noir) n’est pas une brillante idée. Tu ne lui mens pas, car tu n’es plus en contact avec elle pour le moment, mais un jour arrivera où tu seras obligé de te confronter à elle et ça risquera d’empiéter sur ta vie professionnelle. Je ne sais toujours pas quels sont vos démêlés, mais tu devrais rester dans une position où tu n’auras jamais à te reprocher quoi que ce soit.
L’hypocrisie est quasi omniprésente dans notre monde, ce monde d’adulte, il ne faut pas lui donner plus de terrain.
L’hypocrisie… Est-ce qu’il est réellement possible de s’en débarrasser ?... Je n’y crois plus.
1er avril 2021, Tokyo
Après cette dure journée de travail où tu avais particulièrement souffert du soleil (il avait brillé comme jamais, te donnant une sacrée migraine malgré tes lunettes de vue de soleil), tu pouvais enfin te détendre. Enseigner à ces jeunes gens, l’avenir de ton époque, était un honneur, et tu t’efforçais chaque jour de leur transmettre les valeurs qui étaient les tiennes.
Mais assez parlé de ton travail, maintenant que la nuit était tombée, tu pouvais enfin profiter. Le soleil, en soit, c’était quelque chose que tu aimais. Mais ton corps, lui, ne pouvait pas se le voir en peinture. Et si tu avais le malheur de le défier, tu pouvais avoir des réactions dangereuses pour ta santé. Avant de sortir et de rejoindre ta meilleure amie dans ce bar (l’un de tes bars préférés, parce qu’il était peu fréquenté aux heures à laquelle tu avais l’habitude de boire un verre), tu avais réessayé cette thérapie que ta psychologue t’avait conseillé il y a de ça plusieurs années. C’était au début quelque chose qui t’avais paru sans intérêt, mais tu avais quand même tenté. Ta psy t’avait demandé de tenir un carnet, et d’y écrire les souvenirs les plus marquants de ta vie, en empruntant la manière de parler et de voir les choses de tes proches. De ce que tu avais déduis, c’était une technique pour te pousser à te projeter dans le futur, en posant ton passé sur le papier, et surtout, en abandonnant cette culpabilité qui te rongeais.
Finalement, tu en étais arrivé au point où tu te sentais coupable de vivre, coupable d’être différent, de t’être involontairement posé à côté des autres sans jamais être arrivé à les rejoindre. Et c’était un sentiment que tu ne pouvais plus supporter dernièrement.
En plus de ça, tu refaisais des rêves étranges, des rêves qui mêlaient fantasy, histoire… Démons… Bien sûr, tu y croyais raisonnablement, cette croyance te venait de ton père, mais tout de même. Ça n’avait pas de sens. Et tu n’avais plus l’âge pour t’imaginer un monde loin de tes soucis.
« Ahh… Oui Yuki, j’arrive… »
Tu te levas de ton bureau, referma cet épais carnet pour le ranger dans son tiroir dédié avant de te diriger dans ta cuisine, t’emmêlant au passage les pieds lorsque ton chat se faufila de manière fourbe entre eux. C’était sa manière de se venger lorsque tu le faisais attendre. Une chute à moitié amortie plus tard et quelques jurons prononcés à l’encontre de ton compagnon d’infortune, tu te baissas pour remplir sa gamelle de croquettes.
«Miaou ! -Hn… Espèce d’ingrat, tu ne respectes même pas ton maître. - Miaou… -Ahh… Oui ce n’est pas faux, les chats n’ont pas de maître. »
Amusé de ce presque dialogue, tu haussas tes épaules, te relevas pour ranger tout ce que tu avais déplacé avant de te laver les mains et de les sécher avec un torchon, que tu te senti obligé de correctement repositionner à son exacte place.
Tes petits tocs satisfait, tu quittas ta cuisine pour enfiler ton chapeau, ton manteau et chopper ton parapluie anti-UV. Le soleil s’était couché, mais tu ne te déplaçais jamais sans, c’était devenu une habitude avec le temps. Dans ton sac à dos, il y avait une paire de lunette de rechange, ton étui à lentilles, ta crème solaire et des gants, plus quelques boîtes de cachets qui devaient te soulager selon les situations. […] Un peu plus tard, alors que tu étais installé depuis quelques minutes à une table, au fond de l’établissement avec ta meilleure amie, collègue, et amie datant de la fac, tu senti une drôle de sensation. Comme une sensation de chaleur et froid intense, simultané. Ça t’arrivait assez régulièrement ça aussi. Tu n’arrivais pas à comprendre ce que ça signifiait… Sans doute de la fatigue. Izumi qui voyait bien ton air distrait (comme bien souvent), secoua sa main devant tes yeux, te faisant violemment sursauter. Tu… Ne t’y attendais pas. « Calme Super Peureux… Je te demandais si tu te souvenais de tes rêves étranges, par rapport à tes tatoos ? » Tu relevas ton regard vers elle tout en faisant une moue de réflexion. Tes pupilles bleues n’étaient cette fois-ci voilées que de lentilles, c’était largement suffisant. « Je m’en souviens… Sans doute parce que je me suis tatoué ces signes… Ces rêves, je les faisais en boucle, c’était épuisant. Je voyais toujours ces signes, et j’ai eu l’impression que je ne devais pas les oublier. Je ne sais toujours pas ce que ça veut dire… C’était à l’époque où je venais de finir la validation de mon stage, et que j’arrivais au lycée… »
Tout en parlant à voix basse, tu rangeas pensivement la table, posant les serviettes dans le coin inférieur de chacun, positionnant de manière optimale les verres pour qu’aucun postillon n’atteigne vos boissons.
« Ce fut compliqué au début d’expliquer à tout le monde que je ne me faisais pas des teintures pour arriver avec les cheveux blancs sur mon lieu de travail. Etrangement, les professeurs furent plus rapides que les élèves niveau temps d’adaptation. »
Tu n’avais eu aucun reproche, mais apparemment, c’était quelque chose qui ‘’interpellait’’ fortement les adolescentes, tandis que les élèves désiraient suivre ton exemple pour certains. Ce fut une situation étrange. D’un côté, tu n’appréciais toujours pas que cette différence soit pointée du doigt, d’un autre côté, ça n’avait pas été de la persécution. Ces adolescents, ces enfants, avaient eu une réaction beaucoup plus concernée et respectueuse, que ta propre génitrice. Ces élèves, tu les aimais, même si tu faisais tout pour ne pas le montrer. Parfois c’était dur, mais ça ne te décourageait pas. Tu avais sans doute peur de mal faire, et de ne pas correctement les guider, mais ces petites têtes te motivaient.
Ainsi, ton quotidien au lycée était toujours chargé. Conseil de classe, organisation et accompagnement dans une sortie simple, ou une classe découverte. Ton bonheur, de cette manière, restait relativement fragile. Mais ça t’allait. Peut-être parce qu’inconsciemment, ton inconscient savait.
Quoi ?...
Eh bien que ta vie allait prendre un tournant à 180°.
VOYAGEUR
Passif de Matsushime Sora : C’était un moine itinérant plutôt célèbre pour avoir participé à la bataille avec Naraku et participé activement à la protection des villes et villages aux alentours du Mont Fuji. Il était sur tous les fronts et s'est sacrifié pour la sœur de sa femme qui était enceinte de jumeaux, un garçon et une fille. Son arme, une Naginata (Tan'itsu no gisei) aussi robuste que tranchante, était le symbole même de cet homme aux nombreux talents.
Il ne vivait que pour aider et protéger autrui, qu’il s’agisse d’un yokaï, d’un humain, ou d’un hanyô. Il ne faisait aucune différence et c’est pour cette raison qu’il chercha activement les fragments de Perle de Shikon pour pouvoir les remettre à Inuyasha et ses amis lorsqu’il les rencontra.
Souple, agile et endurant, Sora était un combattant acharné qui ne restait jamais en place. Sa réputation le précédait également grâce à l’onmyōdō qui était sa spécialité.
Il pouvait emmener ses ennemis dans une autre dimension et modeler plus ou moins cette dimension. Cette technique affreusement gourmande en énergie était également limitée dans le temps, et dans le nombre de personnes qu’elle pouvait embarquer pour le voyage.
Pour ce faire, Sora devait faire une action rituelle et prononcer une incantation tout en réalisant des gestes avec ses mains, connue de sa femme et de sa sœur uniquement. La technique de la Barrière, et du Sixième sens (ou Conscience spirituelle et Intuition accrue) était également particulièrement bien maîtrisées par le moine.
Projet de développement : L’arme est une Naginata. Cette arme a été forgée par un ami de la famille, spécialisé dans la forge et établi à Edo.
Reita étant un descendant direct du moine Matsushime Sora, il possède inconsciemment le pouvoir de voir et ressentir la présence des esprits et autres phénomènes surnaturels. Pour le moment, il ne fait que ressentir vaguement une présence, mais lorsqu'il acceptera de nouveau la possibilité de les voir, il les verra clairement. Il aura cependant besoin d'entraînement pour voir des présences plus pointues comme des barrières, ou des auras divines.
"L'annulation" ou キャンセル (= Kyanseru) est la technique personnelle de son ancêtre qui sera particulière difficile à maîtriser car en plusieurs phases. Il faudra d'abord qu'il apprenne par coeur l'incantation et l'action rituelle (prendre son sang et le frotter entre ses mains), puis les gestes allant avec. Et une fois tout cela apprit, il devra maîtriser son énergie pour créer la fameuse "dimension" qui est en réalité une barrière magique entourant totalement les "voyageurs". C'est de cette manière que Sora arrivait à modeler sa dimension et à faire subir des choses atroces aux voyageurs.
Reita n'a pas encore son talent, et son expérience, et c'est une technique assez compliquée à réaliser, mais lorsqu'il saura le faire, il pourra emmener ses alliés et ses ennemis, avantager les uns et désavantager les autres. Les points négatifs sont que si évidemment il meure (ou perd connaissance), sa technique s'arrête immédiatement. Et il devra donner la même dose d'énergie dans sa technique pour la maintenir à sa capacité maximum (c'est une technique gourmande en magie).
Et voici mon DC de l’amour ! C’est toujours Hamu pour vous servir ! Et c’est toujours de la faute d’un certain Lykos si j’envahis avec mes persos insupportables - Code:
<span>[b]Gojo Satoru[/b]</span> ✦ Jujustu Kaisen →<a href="https://sangeki.forumactif.com/u17">Matsushime Reita</a> Halloween |