MAI 22intrigue terminée, résumé dispo ICI ; nous passons en novembre 1551 ; thème des avatars : sang et blessures.
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MAI 22nouveau design et news ici ; intrigue toujours en cours (bientôt finie) ; thème des avatars : printemps.1
MAR 22Tous les groupes sont ouverts ; petit message de nouveautés ici ; intrigue toujours en cours (avance bien) ; avatars féminins priorisés
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JAN 22Nouveau design mis en place + roulette qui reprend + thème des avatars : Kimono !
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DEC 21Sangeki a subi une refonte discrète, n'hésitez pas à lire le Guide pour en savoir plus. Le forum prend un nouveau chemin, avec l'aide de sa communauté !
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NOV 21nouveau sujet de petites news pour décembre qui approche ! n'oubliez pas vos calendriers de l'avent !
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OCT 21 Grosses MAJ ; nouveau design, nouveau codage + petits ajouts importants ; découverte ici
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SEPT 21 !! RECHERCHE EXTERMINATEUR/SPIRITUEL !! Missions et quêtes ouvertes ; DC gratuit pour le mois ; changement de mois INRP pour juillet ; ménage de la rentrée fait (membres + sujets)
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JUIL 21 Nouveau changement de design et petit événement léger hors intrigue pour s'amuser en attendant la rentrée !
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MAI 21 Un changement de papier peint pour Sangeki pour bien commencer le mois de juin avec des petits changements en vue ! Thème des avatars : Lanterne ; pour fêter la fin de notre premier évènement !
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MAI 21 Petite mise à jour avec quelques nouveautés, lisibles dans ce petit sujet ! Thème des avatars : enfance.
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AVRIL 21 Ouverture du forum, allez lire le sujet d'ouverture pour une vague de feeels !
par Invité 04/08/22, 04:56 pm
» Teer Fradee - footer
par Kami-sama 03/08/22, 01:06 pm
» Ainsi tomba Thédas - footer
par Kami-sama 09/07/22, 05:06 pm
» Cinza : L'Héritage - TOP
par Kami-sama 03/07/22, 11:11 pm
» Bloom Into Me - footer
par Kami-sama 03/07/22, 07:33 pm
» Fermeture du forum
par Kami-sama 26/06/22, 05:20 pm
» Votes de juin
par Ōzora no Koe 26/06/22, 04:20 pm
» COMBAT 02. Nid de Centipèdes
par Kami-sama 23/06/22, 01:05 pm
» Birthday Roulette
par Iwamoto Sumie 23/06/22, 07:30 am
Kiseki || Un joyeux miracle (100%) |
Invité Invité 05/05/21, 01:37 am |
KisekiFt. Itadori Yuuji (JJK)Prénom ; Kiseki (奇跡), signifiant Miracle ou Merveille. Date de naissance ; 30/07/1000 Âge ; 551 ans Lieu de naissance ; Est originaire des contrées de Mino, au Japon Féodal. Race ; Hanyô (est né d'une mère Humaine et d'un père Yôkai - Ryomen-sukuna). Genre ; Homme Orientation sexuelle ; Tant qu'il peut aimer cette personne et qu'il est aimé en retour, tout lui convient. Situation ; Il a été fiancé une fois avec une humaine, mais ils ne sont jamais allés jusqu'au mariage. Lui et elle ont eu une relation purement platonique tout le long, l'un lui rappelant qu'elle peut toujours trouver mieux ailleurs et l'autre qui ne voulait personne d'autre que lui. Kiseki est resté à ses côtés jusqu'à ce que ce la vieillesse l'emporte. Dans sa longue vie, le jeune homme n'a jamais eu d'autres engagements de ce genre, mais il a connu plusieurs genres de relations bien similaires. En somme, une relation innocente et qui dure le temps d'une vie. Le Hanyô a fait en sorte que la seule chose qui les séparent à chaque fois soit les années qui passent. Kiseki n'a jamais initié ses relations de lui-même, celui-ci ne faisant qu'accepter les confessions qu'on lui faisait à chaque fois. Il a adoré tant d'individus, mais pour chacun d'entre eux, il leurs a été exclusif jusqu'à la toute fin. Il a cependant connu une relation toxique avec un Yôkai qui le marquera énormément et qui l'a rendu plus hésitant avec les liens amoureux. Occupations ; Bon Samaritain (pour résumer tous les métiers qu'il a fait dans sa longue vie par curiosité). Il a bien des titres, mais ils sont toujours peu glorieux venant des Yôkais en général. Donc autant rester sur ce qui importe le plus. Passes-temps ; Aider et rendre services aux autres ; Tout ce qui peut lui occuper les mains (allant du travail manuel aux tâches ménagères) ; Être en compagnie de Sasori ; Apprendre pleins de nouvelles choses, en expérimenter aussi ; Prendre soin de ses trésors. Rêves ; Trouver une forme de stabilité dans sa vie, même si c'est surtout Kiseki qui ne sait pas se tenir qu'à une chose dans sa vie, à une seule existence ; Rendre les gens heureux, en priorité ceux qui lui sont chers (surtout Sasori en somme) ; Être enfin en paix avec ses propres démons. Caractère ; Taille ; 1m78 / Corpulence ; Plutôt bien travaillée / Cheveux ; En brosse, de couleur pêche (en haut) & noire (en bas) / Yeux ; Pétillants, de teinte ambre / Signes particuliers ; A une marque sous chaque œil Histoire ; HANYÔ Yo ! C'est à nouveau Walpurg'Ys avec un DC qui n'a pas du tout été un projet dans lequel on m'a entraîné - pas du tout. Mais bon, je vous aime quand même hein ! (pour de vrai je vous adore - keur keur)
Halloween |
Invité Invité 10/05/21, 12:24 am |
Partie 2 - car c'est trop long omg [ Vivre plusieurs vies ] Lorsqu'on pose un regard sur la manière dont tu as géré ta vie après ça, pendant pratiquement 200 ans, on peut dire que tu n'as pas appris de tes erreurs passées. Ca ou tu ne fais que les accepter et continuer malgré la peine que cela peut t'engendrer. Voyageant seul pour découvrir de nouveaux horizons, en retrouver d'anciens, ou juste faire face à l'inconnu. T'installant le temps de quelques années, voir quelques décennies, dans des contrées qui ont eu tout ton intérêt. Tu tisses des liens, tu forges des relations, en sachant pertinemment qu'elles sont éphémères. C'est ça de vouloir profiter de la présence des humains, tu finis toujours avec la tristesse de les perdre. Même si avec le temps, tu as appris à accepter cette fatalité, à juste accepter que ce sont des présences dont tu devras forcément dire adieu. Ce n'était pas ton but de base, d'autant t'imposer dans la vie d'autrui. Tu voulais juste explorer et aider ceux sur ta route. Tu n'avais jamais pensé que tu viendras à parfois faire partie d'une communauté. D'avoir un toit autre que celui du domaine à Mino. D'avoir un travail et de collaborer avec d'autres humains d'égal à égal. D'avoir d'autres relations après Eiko, même si cela n'a jamais atteint le stade de fiançailles - tu ne voulais pas refaire la même erreur. Bref, tu ne pensais pas que ça pouvait t'apporter autant de faire ce périple-ci. Tu as vécu de bons moments, tout comme de mauvais. Mais cela est la nature-même des choses, après tout, la vie d'un humain n'est pas toujours toute rose. Mais tu as fait de ton mieux pour être heureux et rendre ceux autour de toi tout aussi heureux. Tout cela avait commencé avec une troupe de marchands qui avait croisé ta route. Leurs chevaux étaient trop épuisés pour transporter toutes leur marchandise, pesant bien trop lourd pour eux. Tu avais donc proposé d'en porter une partie. Ils étaient assez dubitatifs et surtout très méfiants. Te surveillant pendant tout le long du trajet, aussi bien pour être sûr que tu ne partais pas avec leurs biens, mais aussi pour être prêt à sauver leurs vies si le besoin se faisait. Avec ta démonstration de force, il était après tout évident que tu n'étais pas humain... Une fois arrivé, tu as juste placés leurs marchandises et leur as souhaité une bonne continuation. Tu pouvais entendre tantôt des soupires soulagés de te voir t'en aller, tantôt une confusion sur le fait que tu ne demandais rien en échange. Tu les as laissé ainsi. Après tout, tu voulais juste aider. Et cette manie que tu as, elle se fera constamment. Encore, encore et encore. Rendre service sans rien demander en échange, aider sans porter la moindre importance sur ce que les gens pouvaient dire et penser de ta race. Tu sais que c'est peu probable, mais tu te plais à penser que tes actions pourraient donner une meilleure image aux Hanyô à quelques personnes. Après que tu ailles aidé quelqu'un, est-ce que cette même personne aura moins de préjudice envers le prochain Hanyô qu'il verra ? Tu es sûrement trop naïf, mais c'est une faible probabilité qui t'enchante. Bref, tu as donc vécu ainsi pendant les premières années de ton voyage. En bon samaritain nomade qui n'était jamais resté bien longtemps à un même endroit. Pourtant, cela a changé avec la rencontre du vieux Menma et de sa famille. C'était une famille paysanne qui s'occupait principalement des rizières. Tu avais entendu un cri de douleur alors que tu prenais le chemin qui longeait les champs de riz et en accourant, tu avais vu le pauvre homme à terre. Il semblait avoir chuté et s'être blessé à la cheville. Tu l'as donc aidé, en prenant ses paniers de récoltes à bout de bras et portant l'homme sur ton dos jusqu'à chez lui. Une fois cela fait, tu étais prêt à partir, comme à ton habitude, mais... Quelqu'un t'avait stoppé. "Où crois-tu aller comme ça ? Tu ne comptes pas partir maintenant ? Il fait nuit noire et le village est à plus d'une heure à pied !" Avait demandé d'un ton presque autoritaire une jeune femme. Tu étais plutôt confus à sa question, peut-être qu'elle n'avait pas remarqué que tu n'étais pas humain. Ainsi, pour éviter tout malentendu, tu lui dis d'un ton calme - toujours prêt à quitter les lieux : "Je suis un Hanyô, il vaudrait mieux que j'évite d'imposer ma présence à vous et à votre famille." Mais la femme ne semblait pas l'entendre de cette oreille. Te disant que tu sois humain, Hanyô, cheval, chien ou cigale - elle n'allait pas laisser quelqu'un ayant aidé son grand-père, à rester dehors aussi tard. Tu ne savais pas trop comment prendre sa manière de formuler les choses, mais tu n'allais pas refuser un toit offert. Ainsi tu y passas la nuit, toujours aussi confus. Cela aurait pu s'arrêter là, mais le lendemain, en apprenant que la blessure de Menma était problématique pour le gagne-pain de la famille... Tu n'as pas pu t'empêcher de proposer ton aide, du moins jusqu'à ce que le vieil homme se rétablisse. Tu pouvais voir le sourire narquois de la petite-fille, du nom de Nami, qui semblait te dire : 'Tu ne vas pas t'enfuir comme un rongeur, c'est bon ?' On pouvait au moins dire qu'elle avait du caractère. Mais bon, cela ne t'a pas empêché de te mettre au travail. Les autres travailleurs des rizières ne semblaient pas trop savoir quoi penser de ta présence. Nami, elle, semblait bien fière de t'avoir en mains d'œuvre - comme narguant les autres alors que tu transportais une dizaine de paniers de riz. Comme promis, tu es resté jusqu'à ce que le vénérable soit guéri. Cela a pris quelques mois, à cause de l'âge avancé de l'homme. Et non, tu refusais d'user de tes os. Tu n'avais aucun souci de les employer sur les Yôkai et les Hanyô, mais les humains étaient hors de question. Ce serait désastreux si cela avait des effets dangereux sur ces derniers. Tu as donc laissé les choses se faire naturellement. Tu as pu apprendre à mieux connaître le vieux Menma, sa petite-fille Nami, le mari de cette dernière Bonten et leurs deux progénitures. C'était une famille plutôt vivante et mouvementée - chacun avait son caractère, mais ils étaient clairement soudés entre eux. Pour la première fois, tu as pu avoir une paye dans ce que tu faisais. Tu avais clairement refusé de base, après tout tu ne faisais pas ça pour de l'argent et tu considérais qu'être logé et nourri étaient un bon payement pour tes services. Mais ils y tenaient, semblant avoir bien compris que malgré ton âge avancé, tu restais un jeune garçon encore assez ignorant du monde. "On doit payer pour vivre et pour cela, il faut travailler. Ce n'est pas en faisant gratuitement le travail des autres que cela aidera qui que ce soit, mon garçon. Accepte ton dû. Dépenses-le, si tu le souhaites. Jettes-le, si cela te dérange tellement. Offres-le, si tu veux vraiment soulager la misère d'autrui." Avait simplement dit le vieux Menma, durant un repas. Tu n'aimais pas te dire que ce que tu avais fait pendant tout ce temps ne servait à rien, mais la logique de l'homme n'était pas si fausse. Tu avais l'habitude de faire le sale travail pour rendre service, mais c'était certainement un sale travail que quelqu'un dans le besoin aurait pu avoir contre rémunération. Cette conversation a grandement changé ta vision des choses. Certes, tu aidais toujours ton prochain, mais tu faisais bien attention à ce que cela n'entrave pas le mode de vie d'autrui. Une fois le vieil homme rétabli, tu as repris la route. Non sans remercier la famille de ces moments passés avec eux, de tout ce que tu as pu apprendre grâce à eux, de ces éclaircissements qu'ils t'ont apportés. Tu repasseras parfois, voyant toujours cette famille évoluer petit à petit au fur des événements et des générations. Et ce n'était pas la seule, la majorité de tes rencontres marquantes avaient souvent des visites fréquentes de ta part, une par décennie environ. Travailler dans les champs ou autre besogne demandant ta force. Aider et apprendre à la construction d'un bâtiment ou à de l'artisanat, tel que de la forge ou de la porterie. Interagir avec autrui pour aider dans un commerce ou au service d'un salon. Accumuler de la connaissance ou partager la tienne. Défendre et protéger autrui ou le bien d'autrui. Bref, tu en as vu de toutes les couleurs et de toutes les formes en termes de métiers. Mais tu y as très souvent pris beaucoup de plaisir et surtout, une profession était avantageuse pour se préparer à une autre. Tu avais clairement des siècles et des années devant toi, donc tu en profitais sans honte. Accumulant expériences et connaissances au fil des ans. Vivre auprès de la famille de Menma t'a aussi fait comprendre que tu avais besoin d'une forme de stabilité, que ce soit avoir un même toit sous lequel vivre pendant une certaine durée. Ou encore de simplement avoir des visages familiers dans un court temps de ta vie. Tu te mettais à vivre dans d'autres provinces le temps de quelques années, que ce soit pour le bien de ta profession du moment ou encore pour le simple plaisir d'y vivre. Et malgré la douleur que c'était de perdre Eiko, tu n'arrivais pas à refuser les personnes qui se confessaient à toi. Cela te faisait bien trop de mal se savoir que tu pouvais blesser les sentiments de quelqu'un, ainsi tu acceptais. Tu côtoyais la personne, tu apprenais à l'aimer et comme à chaque fois, tu laissais le temps finaliser votre histoire à deux. Ils n'étaient pas si nombreux que ça, deux ou trois durant ton voyage. Mais c'était toujours aussi douloureux à chaque fois que cette vie s'éteignait à tes côtés. À chaque fois, tu préférais souffrir de leur perte que de les faire souffrir de ton refus d'essayer de les aimer. Tu as réussi à aimer chacun des humains qui ont voulu de ton affection. Tu es parvenu à les protéger et les préserver pour que ce soit l'âge qui cause leur perte et non pas la maladie ou la menace d'un tiers. C'était toujours une relation innocente, comme avec Eiko, où le charnel n'avait pas sa place - ayant voulu garder vos liens purs et intacts. Tu ne sais pas pourquoi tu as autant du mal avec l'aspect sexuel d'une relation amoureuse. Tu n'y arrivais juste pas. Enfin, cette manière de vivre indépendamment ne t'a pas empêché de parfois retourner dans la Province de Mino, pour aller voir ton père. Ou encore te référer aux nouvelles que tu échangeais avec Sasori pour que vous passiez parfois du temps ensemble. Que ce soit dans le domaine ou pour un court voyage. Bref, tu t'étais trouvé un équilibre. Mais ça, c'était sans compter... L'apparition d'une nouvelle personne dans ta vie. [ Un Samouraï pas comme les autres ] Des guerres continuaient de faire rage dans plusieurs recoins du Japon, les seigneurs semblant toujours plus avide de conquêtes et de territoires. Ainsi, il n'était pas rare que tu te retrouves impliqué dans tout ça - même si tu faisais en sorte de ne jamais en faire directement part. La vue des champs de bataille te déprimait et te rendait nauséeux rien qu'en pensait aux morts et aux souffrances qu'engendre ces combats. Ton travail à cette période était de protéger des troupes devant se rendre jusqu'à un champs de bataille. Sauf que ta protection était plus spécifique, tu devais protéger les guerriers des Yôkais, ces derniers étant souvent attirés par les mauvaises énergies et les morts provoquées par la guerre. Tu n'étais pas seul dans cette mission de protection. Il y avait aussi des Exterminateurs sous contrat, ou encore des Moines affiliés à la province et devant apporter la grâce des Kami pour une victoire certaine. Tu faisais sûrement un peu tâche parmi eux, mais tant que tu faisais ton travail, on ne questionnait pas ta place dans le groupe. On ne te portait pas vraiment attention d'ailleurs, en soit, chacun restait avec leur troupe respective. Les Samouraïs avec les Samouraïs. Les Exterminateurs avec les Exterminateurs. Les Moines avec les Moines. Il ne restait que toi au final. Mais bon, ce n'était pas plus dérangeant que tous les voyages que tu as fait en solitaire durant plus d'un bon siècle. Tu continuais à proposer ton aide si besoin était, que ce soit pour les repas, monter les campements, rassembler les chevaux et bien d'autres actions qui peuvent sembler fastidieuses. Tu commençais à t'habituer à ce rythme, à cette manière de vivre tes journées, jusqu'à la fin de ta mission. Pourtant, un événement se produisit. Un Samouraï commençant à venir volontairement à ta rencontre, à passer du temps avec toi ou même à échanger des paroles sur les trajets. Au début, tu pensais qu'il faisait juste ça pour te remercier de l'avoir aidé durant une attaque de Yôkai, mais cela ne semblait pas être le cas au final. Et il fallait avouer que c'était une personne agréable avec qui échanger. Donc tu as laissé naturellement ce lien se faire. Le Samouraï en question était le chef de la troupe et il portait le nom de Kamiya. Pour le canon humain, on pouvait affirmer qu'il était d'une certaine beauté. Mais bon, ce n'était pas vraiment un détail qui t'importait, ayant déjà vu des Yôkais centrés sur l'attirance physique. Ou juste les femmes du harem de ton père qui respectaient et souvent excédaient les normes de beauté. Donc tu te fis plus aux regards que pouvaient lui lancer les gens autour de lui, en disant ça. C'était aussi un guerrier aguerri, maniant son katana avec une minutie qui s'apparente à plusieurs décennies d'entraînement acharné. Tu pensais qu'après tout ça, tu retournerais à ton quotidien en solitaire. Mais il semblerait que Kamiya en ait décidé tout autrement. "Attends-moi. Après cette bataille, je souhaiterais voyager avec toi ! Enfin... Si ça ne te dérange pas, bien sûr." T'avait-il simplement dit alors qu'il mettait son armure pour aller au combat. Tu étais plutôt surpris par sa demande, mais surtout de son envie de te côtoyer plus longuement. Tu n'avais donc pas osé refuser ou le questionner sur le moment. Ainsi, après la bataille, tu avais conclu ton propre contrat et il en était de même pour le Samouraï. Tu ne l'avais appris que plus tard, mais il était plus un mercenaire qu'un véritable Samouraï. Offrant ses services lorsqu'une bataille avait besoin de lui et de sa lame, il t'avait d'ailleurs dit quelque chose d'assez énigmatique lorsque tu l'avais questionné sur le seigneur qu'il servait. "Je préfère me considérer comme mon propre maître, donc il n'y a aucun souci à ce que je combats pour d'autres provinces si l'envie m'en vient." Mais ta plus grande surprise était d'apprendre que ton compagnon de voyage était un Yôkai. Sa forme humaine était si bien faite, et il cachait si bien son aura que tu n'avais pas pensé une seule seconde à ce qu'il soit autre chose qu'humain. Le Samouraï avait bien ri à ta mine choquée en apprenant la nouvelle. Encore plus de savoir qu'il était bien plus vieux que toi. Tu t'approchais petit à petit des 300 ans, mais lui t'avait avoué en avoir plus de 500. Savoir cela a changé énormément d'éléments dans votre dynamique. Hormis ton père, ton frère ou encore Akane, il était si rare que tu puisses aussi bien t'entendre avec un Yôkai. Il ne disait rien sur le fait que tu étais Hanyô, il ne montrait pas une forme de supériorité à sa race par rapport à toi. Mais surtout... Tu n'avais pas peur du temps avec Kamiya. Tu n'allais pas le perdre après une poignée de décennies, il savait suffisamment se défendre pour ne pas mourir bêtement de la main d'un tiers. Bref, c'était bizarre d'avoir une amitié qui n'était pas éphémère et où tu ne te plaçais pas constamment dans un rôle de protecteur. Kamiya et toi avez voyagé ainsi pendant au moins quelques années, avant que votre relation ne prenne plusieurs tournants. Le premier changement étant votre amitié devenant une relation amoureuse. C'était durant un voyage vous menant à une grande ville, Kamiya t'avait dit qu'il avait un travail à faire là-bas, te laissant vaquer à tes occupations le temps qu'il remplisse sa tâche. Et c'est quelques soirées plus tard que tu avais appris ce que le Yôkai faisait. Ou du moins, il a fallu une bien étrange scène avant que tu ne l'apprennes. Tu te promenais dans les rues en pleine nuit, dans un besoin de prendre l'air. Et tu pouvais voir des personnes courir dans le sens opposé - une femme, aux airs de Maiko, poursuivie par plusieurs hommes. Tu allais intervenir, mais la jeune femme te rejoint bien vite avec une vitesse que tu peux identifier comme surhumaine. Avant qu'elle n'attrape le poignet et ne t'embarque dans sa fuite, dans une cadence que tu arrivais heureusement à suivre. Une fois que vous aviez pu fuir les hommes, finissant dans la rue menant à ton auberge, tu allais questionner la jeune femme. Mais tu te figes en voyant le visage de cette dernière - les traits bien trop familiers malgré le maquillage. "Kamiya ..?" La jeune femme glousse devant ta confusion et te répond d'une voix amusée "On m'appelle plus Kamiko sous cette forme." Et sous tes yeux, tu vois la jeune femme reprendre la carrure virile de ton ami, bien que toujours vêtu de sa tenue de Maiko - quelque peu défaite suite à la course-poursuite. "C'est mon pouvoir. Tu dois penser que c'est plutôt simpliste." Tu allais réfuter ce qu'il venait de dire, mais tu es vite coupé dans ta phrase lorsque tu es prestement poussé contre un mur. Ton ami est contre toi, un sourire charmeur aux lèvres avant de te murmurer, proche de ton oreille : "Mais au moins. Que je sois un homme ou une femme ne sera pas un problème, si je venais à confesser mes sentiments pour toi, n'est-ce pas ?" Tu pouvais te sentir rougir, aussi bien à cause de la proximité avec Kamiya, que de la surprise de ce que tu viens d'entendre. Ainsi, avec une grimace embarrassé, tu lui réponds juste : "Je dois prendre ça pour une confession ?" Tu n'avais que le sourire énigmatique de Kamiya et ses mains prenant ton visage au creux de ceux-ci, pour te préparer à ce qui en a suivi. Un baiser. Dérobant l'une des rares choses que tu n'avais jamais pu offrir dans tes précédentes relations, Eiko compris. C'était abrupt, c'était inattendu, mais c'était quelque chose que tu souhaitais. Partager un amour avec quelqu'un qui pouvait te comprendre, partager un amour qui durera aussi longtemps que ta propre existence. Pourtant... Cet amour était un amour empoisonné. [ L'amour est un fléau ] Ta relation avec Kamiya, ou Kamiko dépendant de son humeur, se passait plutôt bien. Passer d'amis à amoureux était une transition étrange, mais pas forcément désagréable. Tu devais t'habituer à l'aspect très tactile du Yôkai, à sa nouvelle manie de te taquiner sans cesse. Comme si changer la nature de votre relation lui permettait d'être plus proche de ce qu'il est vraiment. Tu n'étais pas vraiment à l'aise au départ, mais tu as appris à t'y habituer et accepter sa personnalité plus dynamique et son affection sans filtre. En soi, tu as commencé à apprécier l'attention qu'il te porte. Le Samouraï semblait bien profiter de son pouvoir pour profiter de la moindre situation. Devenant Kamiko lorsque vous étiez en public et où elle pouvait avoir le rôle de partenaire aimante sans craindre le regard d'autrui. Et lorsqu'il n'y avait que vous deux, il redevenait Kamiya et profitait de votre différence de taille, étant plus grand et plus imposant que toi de base, pour te choyer de son affection. Cela a pris du temps à t'habituer à ça, mais cela s'est facilement fait avec les ans. Tu apprenais, tu acceptais. Sans savoir à partir de quand tout a dérapé. À partir de quand Kamiya a commencé à t'éloigner des autres, à constamment monopoliser ta présence, à te faire culpabiliser d'être auprès d'autres personnes que lui. À partir de quand ses gestes d'affection ont commencé à avoir une passion telle que cela laissait des marques, que cela commençait à faire mal. À partir de quand tu devenais de moins en moins capable de lui refuser quoi que ce soit. Lui racontant avec une confiance aveugle tout ce qu'il voulait savoir, lui dire sans la moindre hésitation tout ce qu'il voulait entendre. Tu lui disais "Je t'aime" sans avoir forcément le cœur pour et cela te rendait coupable, car Kamiya ne s'en privait pour te le dire à chaque instant. Et bien d'autres... Comme le collier. "Qu'est-ce que c'est ?" Avais-tu demandé d'un ton perplexe en observant l'accessoire que ta moitié venait de t'offrir. C'était un bijou proche du cou, avec un étrange symbole dessus. Toujours avec son étrange sourire, il t'a enlacé de ses puissants bras en prenant, avant de répondre "Je sais que tu es encore hésitant pour qu'on se fiance, mais... Je voulais tout de même quelque chose pour prouver le sérieux de notre amour. J'en possède un similaire, regarde." Sur un de ses bras, tu pouvais y voir un bracelet en effet très ressemblant au collier. Tu ne savais pas trop quoi penser de tout ça, mais ne voulant pas vexer Kamiya, tu te contentes de lui dire "Tu veux m'aider à le mettre ?" Tes doutes et ton malaise sont bien vite parti devant le sourire enthousiaste du Yôkai face à ta proposition. Ignorant tout l'aspect possessif de la situation. Comme tes os. Tu ne sais toujours pas pourquoi tu en as parlé, sûrement parce que Kamiya poussait encore et encore le sujet. Obsédé de savoir tes capacités, très curieux et excité une fois qu'il les connaissait. Toi qui tenait tant à garder le secret, tu as fini par lui parler de tes os ou du moins de leur capacité. Depuis, le Yôkai a semblé y avoir eu comme une certaine passion pour ces derniers. Comme tester les effets après une bataille. Comme vouloir briser de lui-même un de tes os quand tu finissais gravement blessé. Comme souvent malaxer tes membres de manière à les sentir à travers ta chair. C'était étrange, c'était malsain. Comme s'il avait un projet derrière ce savoir. Ta moitié t'avait même demandé une fois d'avoir un des os que tu gardais sur toi (un qui date de la nuit de torture). Tu t'étais longuement disputé avec lui sur ce sujet, ce dernier ne voulant absolument pas te dire pour quelle raison il le désirait. Au final, tu as été le premier à lâcher l'affaire. Kamiya s'est éclipsé un temps avec un ou deux de tes os, et même maintenant tu ne sais toujours pas ce qu'il en a fait. Comme cette distance. Kamiya, et aussi Kamiko quand la situation le demandait, était toujours là pour faire obstacle à la moindre relation que tu cherchais à tisser. Qu'elle soit professionnelle ou amicale. Ta moitié cherchait constamment à couper court à tes échanges, à monopoliser les conversations avec toi, à constamment te tirer de force pour n'être plus que tous les deux. Il refusait que tu visites les personnes que tu as connues durant ton voyage, il refusait que tu ailles à Mino ou que tu retrouves Sasori. Et même s'il te laissait écrire quelques lettres, tu voyais qu'il était extrêmement retissant et avait toujours un œil par-dessus ton épaule quand tu écrivais. Ta vie devait tourner uniquement autour de la sienne. Et cela a duré ainsi pendant une poignée de décennies. Mais tout s'arrêta suite à une énième discorde. Cette fois-ci, Kamiya désirait que vous partiez loin et que vous laissiez tout derrière vous - et toujours sans en révéler les raisons. Cette fois-ci, tu ne pouvais pas aveuglément accepter. Tu ne pouvais pas perdre tout ce qui t'était cher sur un coup de tête, aveuglé par ton amour pour lui. Tu as tenu bon, refusant catégoriquement à chaque fois. Le Yôkai semblait avoir beaucoup de mal à tolérer ton refus, bien qu'il restait calme. Kamiya te faisait comprendre qu'il n'avait pas le choix de partir, qu'il avait de nouvelles obligations. Et il cherchait à te faire venir avec lui, avec des arguments assez énigmatiques - comme il l'a souvent été d'ailleurs. Qu'en le suivant, tu seras bien plus fort. Qu'en venant avec lui, les gens te verraient sous un autre œil - adulé ou respecté. Il utilisait aussi votre relation pour te faire flancher, mais tu refusais encore et encore. Ta moitié finit par pousser un soupire exaspéré. Tu pensais qu'il allait enfin abandonner, mais non malheureusement. Il t'a forcé dans ses bras pour t'enlacer longuement, comme à son habitude, marmonnant des mots à ton oreille. Une telle intimité dont tu as fini par être habitué avec le temps, mais cette fois-ci, avec des mots qui te hanteront encore parfois. "Avant que nos chemins se séparent, il te reste encore une chose à m'offrir." Tu pouvais sentir une de ses mains commençant à ouvrir ton kimono, avant de continuer. "Et qui sait... Peut-être que tu changeras d'avis. Le plaisir fait parfois des miracles." Et tu ne vas pas aller plus loin à ce sujet. Cette nuit, on t'a forcé dans une relation charnelle. Cette nuit, on t'a fait connaître le plaisir avec une femme, ainsi que le plaisir avec un homme. Tu te sens sale de cette nuit. "Je te laisse pour cette fois, le temps me presse. Mais sache que je reviendrais, qu'importe le temps qui s'écoulera. Que tu le souhaites ou non, tu m'appartiens désormais." Et il a disparu de ta vie ainsi, en te laissant le vide de t'avoir tout pris. En te laissant avec la crainte qu'il reviendra un jour te hanter, mais lorsque celui-ci arrivera, il n'y aura aucune échappatoire pour toi. Tu le savais. [ La perte d'un être cher ] Cela t'a pris du temps pour te remettre de ton choc de ta relation avec Kamiya, il t'a fallu du temps pour te reconstruire, d'à nouveau aller de l'avant. Tu avais du mal à faire attention aux jours, aux semaines, aux mois, aux années qui s'écoulaient pour remettre bout à bout les morceaux de ta psyché en miette. Il fallait que tu acceptes cette nouvelle solitude. Il fallait que tu effaces les démons qui te rongent depuis le départ du Yôkai. Mais c'est si dur, tu as encore l'impression de sentir son corps contre le tien, d'avoir sa main recouvrant tendrement la tienne, d'entendre sa voix au creux de ton oreille. Tes hallucinations revenaient de bon train. C'est peut-être pour ça que tu t'en es rendu compte aussi tardivement. Tu ne voyais plus les années défiler, tu n'arrivais plus à répondre à tes habitudes. C'est sûrement pour ça que cela t'a pris autant de temps d'apprendre la disparition de Sasori. Plusieurs décennies sont passées à grande vitesse pour toi, il t'a fallu du temps pour avoir les nouvelles, pour comprendre ce qui se passait. Mais dès que l'essentiel t'était parvenu... Tu n'avais pas perdu un seul instant. Tu as laissé de côté tes peines passées et les peurs qui te hantaient, ne pensant qu'à retrouver ton frère. Tant de temps et d'énergie, pour y parvenir, mais tu l'avais retrouvé, tu l'avais finalement retrouvé ! Tu n'avais pas hésité un seul instant, tu avais accouru vers là où Sasori se trouvait et plus tu avançais, plus tu paniquais. Tu pouvais le voir au sol de cette petite bâtisse en ruine et en cendre. Ton pas s'était accéléré, alors que tu l'appelais, alors que tu arrivais à son chevet, alors que tu sentais la main de ton frère toucher hasardeusement ta joue. Tu pouvais voir qu'il était dans un sale état, tu pouvais voir qu'il n'entendait pas ce que tu lui disais, tu n'étais pas sûr s'il te voyait. N'y tenant plus, tu l'avais pris dans tes bras, tu aurais pu mettre toute ta force. Mais cette fois... Cette fois, tu avais cette impression que tu aurais pu le briser en faisant ça. Ainsi, tu t'es retenu, mais tu t'es tout de même accroché à lui fortement avant qu'une des personnes t'accompagnant pour les recherches te fit comprendre que Sasori avait besoin d'aide et de repos, que vous deviez le ramener rapidement au domaine. Tu aurais voulu profiter plus de sa présence, de profiter plus du fait que tu l'avais contre toi après tout ce temps, mais il fallait que tu sois raisonnable. Tu devais calmer cet élan d'égoïsme qui te prenait et ainsi, tu laissas le cours des choses se faire. Meurtri de ton piètre état mental, meurtri de l'état de Sasori, meurtri de ne pas avoir pas été là plus tôt, meurtri d'avoir laissé ton propre malheur te faire ignorer le monde qui t'entourait. Tu devais te reprendre. Pour toi, pour Sasori, pour tout. Une fois de retour au domaine, tu pensais que tout irait pour le mieux. Mais non, mais non, rien n'allait ! Tu avais laissé Sasori dans sa chambre pour le laisser se reposer, partant te réfugier dans la tienne pour te changer les idées. Tant de choses se sont produites dernièrement, si loin du calme que tu as vécu pendant presque 2 siècles. Tu avais besoin de souffler et une fois que tu serais en meilleur état, tu te promettais d'aller auprès de ton frère. Pour mettre au clair tes esprits, tu commençais à retoucher à ta chambre. Déplaçant des meubles pour mieux coller aux habitudes que tu avais eus dès lors. Commençant à déposer tous les objets, toutes les lettres qui s'étaient accumulés avec les années. Mais un cri a bien vite déchiré le calme des lieux de par sa puissance. Tu reconnaissais la voix d'Akane, tu l'avais entendu crier le nom de Sasori. À nouveau, tu n'avais pas hésité un seul instant à accourir jusqu'au lieu du cri, jusqu'à la chambre de ton frère. Et la vision que tu as eue en arrivant sera une énième image qui viendra te hanter dans tes hallucinations. Ton frère au sol, un trou béant dans la poitrine, le cœur hors du corps. Akane auprès de lui, dévastée et criant sur Sasori. Tu n'arrivais pas à entendre ce qu'elle disait. Tes oreilles bourdonnaient, ta vue se faisait trouble, alors que tu finis par agir dans un simple réflexe. Dans une action désespérée. Tes mains plongeant dans ta chair, pour en sortir sans grâce, sans délicatesse, les os qui étaient à ta portée. Ils étaient dans ta paume et tu t'es mis à les briser, à les broyer, encore et encore. Jusqu'à ce que tu puisses forcer Sasori à les avaler. Tu as continué ainsi pendant longtemps. À nouveau, toute notion du temps avait disparu pour toi. Tu pouvais sentir ta psyché hurler, tes yeux s'épuiser de tes larmes, ta chair supplier que tu arrêtes, tes os craquer constamment. Ton esprit était bloqué. Bloqué sur le son des craquements. Et sur le besoin de garder ton frère en vie. Crac. Vit. Crac. Reste en vie. Crac. Reste auprès de nous. Crac. Ne nous quitte pas. Crac. Ne me laisse pas seul. Crac. J'ai besoin de toi. Crac. Vit. Crac. Pardon d'être aussi égoïste. Crac. Vit. Tu n'étais plus que l'ombre de toi-même pendant que tu gardais désespérément Sasori en vie. Pendant que tu attendais que la solution arrive. Il était si simple de voir que quelque chose avait changé en toi, que tu possédais une fragilité déconcertante à cet instant. Mais heureusement, la survie de ton frère était la priorité. Donc même si des gens l'avaient remarqué, ils passaient très vite à autre chose. [ Oublier pour mieux vivre ] Ce fut long, ce fut rude, mais il était sauf. Sasori allait vivre. Toute la tension qui s'était accumulée dans ton être c'est relâché d'un coup. Dès que la nouvelle t'était parvenue, tu as simplement poussé un soupir de soulagement, avant de laisser l'inconscience t'emporter. Tu étais si fatigué, ton corps était à sa limite. C'était sans regret que tu t'endors, dans un sommeil bien mérité d'une poignée de jours. Ton dos te haïra sûrement de t'endormir au chevet de ton frère, sans prendre le temps de bien te mettre ou au moins t'allonger. Mais bon, tant pis ! 2 semaines, c'est le temps qu'il a fallu pour que Sasori se réveille enfin. Tu as heureusement pu t'en remettre depuis, histoire de ne pas avoir l'air trop misérable lorsque ton frère est revenu à lui. Tu ne sais même pas si tu aurais pu l'aider à se relever avec l'énergie qui t'était resté pour le maintenir en vie. Donc tu es plutôt reconnaissant de cette pause que ton corps t'a forcée à prendre, pouvant ainsi pleinement soutenir et aider Sasori à son réveil. Avec tant de questions en tête, avec tant de choses à dire, mais tu n'arrivais pas à formuler la moindre parole. Silencieusement, tu avais juste laissé tes gestes parler pour toi. Examinant de tes yeux et de tes mains l'état de ton frère, cherchant à desceller le moindre mal possible qui aurait pu rester ou qui aurait juste mal guéri. Il était facile à voir que tu avais gagné une certaine maîtrise dans ce que tu faisais, grâce à ton voyage. Tes gestes étaient contrôlés et précis, mais tout de même emprunt de la tendresse qu'on te connaît. Même après avoir fini tes examens, tu es resté auprès de ton frère. Ce dernier ne te lâchant pas et toi refusant tout autant qu'il te lâche. Tu voulais savoir ce qui s'est passé, comment Sasori a fini dans cet état. Mais tu ne dis rien, préférant profiter du moment que de le briser avec des questions. C'était du coup Akane qui a posé la fameuse question. "Qu'est-ce qu'il s'est passé ?" Et il fallait dire que la réponse de ton frère t'a pris de court : il ne s'en souvenait pas. Tu le regardais avec les yeux en soucoupes à cause de la surprise, c'était plutôt difficile à avaler que tant de détresse n'avait au final aucune réponse pour vous. Mais une fois le choc passé, tu soupires une énième fois. Avant de donner la date à ton frère. "1377, Sasori." Avant de poser lourdement ta tête contre lui, pour mettre au clair ton esprit, pour assimiler l'information. Des idiots. C'est ce que vous êtes, Sasori et toi. Après tout ça, le calme a pu enfin reprendre son cours. Tu étais intransigeant sur le rétablissement de ton frère, mais malgré ta nouvelle autorité à ce sujet, tu étais au petit soin pour lui. Cela te faisait du bien de t'occuper de lui, de mettre toute ton attention sur le bienêtre de Sasori. Cela te permettait d'oublier tes propres soucis. Surtout que tu pouvais ainsi mettre en pratique énormément de connaissances que tu avais accumulés durant tes 2 siècles de voyage. Ton savoir s'étendait sur la nutrition (que ton frère le veuille ou non), mais aussi sur diverses médecines que tu as pu apprendre. Cela t'aidait pour des remèdes - autre que tes os, mais aussi à remettre sur pied le corps de Sasori. Avec de l'acupression ou encore de la réflexologie. Ton frère tirait une drôle de tête quand tu en parlais, et encore plus lorsque tu l'as mis en pratique. Mais il s'en remettra, c'est un mal pour un bien. ... Et une légère vengeance pour t'avoir autant inquiété. [ À nouveau à deux ] Après tout ça, après que tout est finalement revenu à la normale. Avec Sasori qui était enfin sur pied, proche comme jamais de ce qu'il était avant tout ça. Avec tes efforts pour ignorer tes hallucinations qui ne cessaient jamais de te narguer de base. Avec ce temps à deux, où vous aviez pu échanger, où vous aviez pu discuter, où vous aviez pratiquement tenté de rattraper le temps perdu. Avec tout ça, une forme de normalité s'était pratiquement créée, mais aussi des changements sont apparus. Enfin, ce n'était pas vraiment un changement, mais plus une nouveauté. Une nouveauté que tu ne peux qu'apprécier, approuver et surtout pleinement en profiter. Tu avais repris tes escapades sur les terres de Mino, à de nouveau tisser des liens, que ce soit avec d'anciennes connaissances, qu'avec de nouvelles. Tu avais repris cette manière de vivre consistant à aider et protéger ton prochain, cela te faisait du bien de pouvoir reprendre cette habitude. Mais ce qui avait changé, c'était que Sasori était à tes côtés lorsque tu faisais cela et participait lorsqu'il fallait combattre. Au début, tu pouvais voir qu'il le faisait surtout pour toi. Pourtant, avec le temps, tu pouvais bien voir que cela lui plaisait les conséquences derrières. Tu n'étais pas du genre à vouloir de biens, sauf si besoin était. Tu n'étais pas du genre à accepter les compliments et préférait les esquiver avec modestie. Mais ton frère... Les récompenses, les offrandes, les éloges, il acceptait tout ça très volontiers. Appréciant les douces caresses que cela faisait à sa fierté, et tu devais avouer que cela t'amusait un peu de le voir ainsi. Ces temps étaient bons, agréables. L'un pouvant voir comment l'autre avait changé. L'un pouvant voir à quel point l'autre avait évolué. Vous aviez énormément à découvrir et redécouvrir sur l'un et l'autre. Mais vous aviez le temps, car vous étiez à nouveau ensemble après tout ce temps. Et cette fois-ci, il allait être difficile de vous séparer. Surtout depuis que vous l'aviez finalement trouvé, la personne capable de vous maudire. Une malédiction rendant capable l'un de savoir quand l'autre est blessé et inversement. Le principe se faisait ainsi : Lorsque l'un de vous deux est blessé, l'autre ressent un picotement à l'exact endroit de la blessure. Plus la blessure est importante, plus le picotement est dérangeant - voir douloureux. Bien sûr, ton frère et toi aviez tout de même mis une règle sur le moment où intervenir - on ne pouvait pas dire que vous étiez les personnes prenant le plus soin d'elles-mêmes après tout. Ainsi, vous vous êtes mis d'accord sur ce principe : un picotement est sans inquiétude, un second picotement est le moment pour s'inquiéter, un troisième est l'instant où il faut intervenir. Beaucoup ne comprenait pas vraiment ce besoin de vous maudire ainsi. La Kuro Miko chargée de vous maudire était sans doute une de ces personnes, mais elle se contentait de faire ce pourquoi elle était payée, sans se poser plus de questions. Peu de personnes pourraient le comprendre sans doute... ... Ce besoin maladif de savoir quand l'autre était en difficulté. Mais après avoir autant souffert chacun de votre côté, se permettre d'être ignorant du mal de l'autre était quelque chose que vous ne pouviez plus accepter. Faire ce Rituel de sang était devenue une nécessité pour Sasori et toi. Il le fallait bien, pour cette vie à nouveau à deux. [ La fin d'une ère ] Une nouvelle était tombée, alors que Sasori et toi étiez toujours dans votre voyage. Cette fois-ci à Izumo, ton frère étant plutôt curieux d'une certain Divinité Oni venant des croyances locales et dans un sens tu pouvais aussi être curieux, mais pour une autre raison. L'un était intéressé par la force de l'Oni, l'autre voulait connaître l'étendue de son savoir. Mais bon, vous n'avez pas eu le temps pour ça, ayant reçu la visite d'un Messager avec l'information suivant : que vous deviez revenir rapidement au domaine, à Mino. Sans trop vous questionner, vous avez prestement pris la retour pour rentrer le plus tôt possible chez vous. Un repas s'est fait, en famille. Tu te souviens avoir été assez tendu, le présence de votre faisait toujours ça, mais cela venait aussi du temps qu'il s'était écoulé depuis la dernière que cette scène a eu lieu. Sasori et toi aviez longuement voyagé depuis tous ces incidents et même si vous reveniez souvent au domaine, aucun de vous trois n'aviez vraiment le temps pour un repas ensemble. Intérieurement, tu étais plutôt content que vous soyez réuni autour de cette table, mais tu étais aussi assez nerveux. Vous ne saviez pas pourquoi on vous avait convié à revenir le plus vite possible après tout. Le silence était pesant. Et cela semblait bien amuser Ryomen-sukuna qui a fini par cesser de gentiment vous torturer l'esprit après plusieurs minutes et finalement vous annoncer sa retraite. Vous auriez du vous y attendre, pourtant la surprise restait là. Les mots qu'il avait pour toi te touchait, te faisant lâcher un timide sourire le temps de quelques instants - le regard de Saori t'aidant à suffisamment te détendre pour ça. Tu t'étais contenté d'un signe de tête, pour montrer que tu avais compris ce qu'il te disait et que tu acceptais sa demande. Même si tu n'avais pas vraiment besoin qu'il te le dise pour que tu le fasses, après tant d'années, après tant d'événements, il était devenu inconcevable pour toi de quitter ton frère ou de le laisser seul à ses responsabilités. Tu as cependant repris ton sérieux, toujours aussi silencieux, lorsque le sujet vint sur Sasori. Après tout, le plus impacté sur cette nouvelle était lui. C'était lui l'héritier, c'était lui qui allait avoir la responsabilité des terres de Mino et de Hida. Mais comme promis, tu feras en sorte d'être là pour lui et puis... C'est mal te connaître de penser que tu n'allais pas mettre toutes tes capacités en œuvre pour le meilleur de tes terres natales. Tu seras là, qu'importe les circonstances. Le repas a repris son cours, des pensées pleins la tête. Suite à cela, un banquet s'est tenu pour la retraite de votre père. Tu sais que Sasori y avait mis énormément d'effort dedans, allant de sa surprise jusqu'à sa tenue. Ton cadeau était plus moindre et s'était fait bien avant les festivités. Tu n'avais pas grand-chose à offrir hormis ton savoir venant de tes voyages. Ainsi, le meilleur que tu puisses faire est de rendre sa retraite la plus agréable et passionnante possible. Discutant avec lui, échangeant sur les endroits où il pourrait aller, partageant les connaissances que tu as aux sujets des terres se trouvant en dehors du Japon. Tu avais une grande fierté en voyant parfois le regard de ton père avoir des lueurs surprises ou intéressées à ce que tu lui proposais ou lui racontais. Tu étais affreusement jeune par rapport à lui, mais tu étais content de pouvoir lui offrir l'une des rares choses pour lesquelles tu te considères comme doué. Un présent paisible et intimiste, à ton image. Mais revenons au banquet, qui lui, était plutôt grandiose. Il fallait l'avouer. Raison de plus pour que tu cherches à te faire discret, ne voulant pas amoindrir la bonne ambiance, ne voulant pas causer à nouveau des soucis durant les festivités. Pourtant, Sasori semblait d'un tout autre avis, n'hésitant pas à te mettre sur les devants de la scène à ses côtés. Et une énième fois face à une grande annonce, tu affichais de la surprise. Tu ne t'attendais pas vraiment au discours de ton frère, à ce qu'il parle ouvertement de votre protection envers les humains de votre domaine et surtout, tu apprenais sur le tas l'existence d'un second banquet où les humains étaient conviés. Mais, l'étonnement a vite été remplacé par une forme de joie. Peut-être que demain sera un bon jour pour toi. Et ça l'était. Tu étais capable de profiter de la fête avec les autres humains, pouvant ignorer les Yôkais qui étaient venus à contrecœur, ou encore ceux qui étaient venus par curiosité. Mais surtout, il y avait tous ces visages familiers, ceux que tu as rencontré ses dernières années, ceux qui sont des descendants que tu as vu naître et grandir en ayant connu leur ancêtre. Pour la première fois, tu as pu t'amuser, tu as pu agir librement. Tu as évidemment attendu la fin du banquet pour ça, mais pour cette surprise, tu as enlacé Sasori avec force, en le remerciant infiniment. Vous alliez vivre une nouvelle ère ensemble. Cette ère sera belle. Tu en étais certain. [ Godai ] Tu étais curieux, beaucoup trop curieux. Cela faisait déjà un moment que Sasori et toi aviez vaincu Yamaarashi, le démon porc-épic qui semait le trouble durant un de vos voyages. Et justement, c'est depuis ce moment que Sasori te cache quelque chose. Il avait récupéré des parties du Yôkai, sans jamais te dire ce qu'il comptait en faire. Tu avais beau lui poser la question, il esquivait le sujet à chaque fois ! Qu'importe ce que tu tentais, ça ne donnait rien. Même les yeux de chiens battus ne semblaient avoir aucun effet, c'est pour dire. Autant au début tu voyais qu'il était proche de craquer, autant maintenant cela semblait même plus l'amuser qu'autre chose quand tu te donnes tant de mal pour savoir ce qu'il faisait. Et ce n'est qu'à tes 500 ans que tu as finalement eu ta réponse. Celle-ci se présentant sous la forme d'une arme. Une lance finement travaillée et avec la lame constamment rougie. L'aura que dégageait cette arme était déconcertante, c'était familier lorsque tu la prenais en main. Tu revoyais le combat avec Yamaarashi... Mais aussi divers souvenirs du passé. Tu avais évidemment chaleureusement remercier ton frère et lui offrant tes habituels puissants câlins. Tu ne t'attendais pas à un tel cadeau, surtout lorsqu'il t'a dit qui avait forgé la lance. Tu étais assez choqué en l'apprenant, mais il est bien vite parti, car oui, c'est bien le genre de Sasori d'aller dans de telles extrémités. Ton frère n'avait aucune limite. "Tu l'as fait forgé avec ce que tu avais pris du démon porc-épic ?" Demandais-tu en observant l'arme plus précisément, tes connaissances en forge étant bien vite intéressées par le travail en lui-même. Ton frère acquiesça, non sans rajouter d'un ton presque nonchalant qu'il y avait aussi sa mère dedans. "Oh, du coup je comprends mieux pour la lame rouge- Pardon." L'information a pris son temps à monter dans ton esprit, mais lorsqu'elle est venue... Tu étais bien surpris oui. Enfin, ce détail n'avait en rien changé l'affection que tu avais pour l'arme qui t'a été offerte. La traitant comme un trésor et ignorant la colère qui pouvait se dégager de la lance. Sasori l'avait faite forgé pour toi, tu allais en prendre grand soin, mais surtout développer au mieux son potentiel. [ L'histoire d'une perle ] Ce n'était que deux simples années, ce n'était rien sur la longue vie que tu as vécu pourtant. Pourtant, ce fut des années bien éprouvantes. La perle de Shikon a été brisée et laissant l'avidité d'autrui refaire surface. Sasori n'était pas différent sur ce point, ayant eu pendant un temps deux fragments avec lui - qu'importe ce que tu lui dises que c'était une mauvaise idée. Cela a coûté de nombreuses vies avant que ton frère ne décide enfin de s'en séparer et les donner au groupe chargé de reformer la perle. Même s'il y a eu une légère hésitation lorsqu'il a fallu les donner. Tu aurais pu lui en vouloir, après tout tu l'avais mis en garde, après tout cela a causé bien des dégâts et des pertes. Mais tu en étais incapable. Car c'était ton frère, car c'était tout ce qui te restait, car ta colère ne réglerait pas la situation et surtout, car au fond, tu aurais pu être pareil. Tes hallucinations te criaient d'être avide, de céder à la tentation. Les voix te rappelaient l'histoire d'Inuyahsa, l'Hanyô voulant devenir un véritable Yôkai grâce à la perle. On te rappelait toute ta misère d'être né Hanyô, on te rappelait toute la souffrance que tu as connue en étant faible. La tentation de tes démons était forte, mais tu tenais bon. Car il fallait bien que quelqu'un reste sain d'esprit, car il fallait que quelqu'un résiste pour vous deux. Et ironiquement, parmi tes nombreux démons intérieurs, il y en avait un qui te permettait de garder les pieds sur terre. Alors que tu cherchais désespérément à l'oublier. "Tu es très bien comme tu es, Kise" À oublier ce passé commun. "Être Hanyô est ce qui t'a forgé ainsi" À oublier sa voix, ses mots, sa présence. "Ne change jamais, tu es parfait comme ça" ...Mais c'est plus facile à dire qu'à faire. Heureusement, Sasori a pu finalement prendre les choses en main. Tu n'étais clairement pas en état, ton esprit était souvent ailleurs. Tantôt dans le deuil d'autant de morts, tantôt dans la mélancolie des paysages et villages détruits, tantôt trop occupé par tes hallucinations. Ces deux années ont été difficiles, mais vous avez tenu bon. Vous avez aidé, vous avez reconstruit. Toute cette histoire avec Naraku et la quête des fragments de la perle de Shikon semblait enfin terminée. Le calme pouvait enfin se faire et la vie pouvait finalement reprendre son cours. MAINTENANT. Tu as pu reprendre des jours paisibles, à voyager et à soutenir ton frère. Il n'était aussi pas rare que tu ailles voir les jeunes Yôkais que ton frère et Akane ont adoptés - prenant ton rôle d'oncle grandement à cœur. Tu vivais sereinement, mais il y avait une tâche dans le tableau. Ces deux dernières années ont fait ressurgir tes souvenirs en lien avec Kamiya, les hallucinations le représentant t'aillant étonnement aidé à garder la tête froide. Mais maintenant, tu ne peux t'empêcher de repenser à cette phrase qu'il t'avait dite. "Je reviendrais, qu'importe le temps qui s'écoulera" Tu as peur que ce jour finisse par arriver. |
Feuille de personnage Barre d'xp: (4/28) Pièces d'or: 1814 Kurage Ken ✦ Invoqué ✦ Niveau 6 If all you ever do is look down on people, you won't be able to recognize your own weaknesses. Feat : Bakugou Katsuki (MHA) by me |
kuku mon fréro tellement heureux de t'avoir entraîné dans cette connerie de projet je suis fier j'avoue j'avoue même si Kise est le jumeau de Sadik, ben j'ai hâte de voir ce que tu vas me pondre, parce que j'aime le fait qu'on écrive chacun de notre côté et qu'on s'adapte au fur et à mesure. Je suis resté évasif sur Kise malgré tout pour que tu aies de la marge ! alors bon courage pour la suite et hâte de RP avec toi bisous jtm |
Feuille de personnage Barre d'xp: (0/21) Pièces d'or: 1549 Akane ✦ Yôkai ✦ Niveau 5 10/05/21, 12:26 am Let's play a game. Feat : Oda Nobunaga ( Avenger) / FGO |
Je crois que je dois te dire coucou vu que maintenant tu es mon beau frère ! M'enfin vu comment il est tout choupi je vais pouvoir que l'aimer ! Je suis impatiente de jouer avec toi en tout cas ! |
Feuille de personnage Barre d'xp: (200/200) Pièces d'or: 99999 Kami-sama ✦ Voix Suprême ✦ niveau 100 Let's play a game. Feat : Lykos & Pinterest |
Passage du S.S.N'aies pas peur, respire ...Re-bienvenue à toi sur Sangeki, le Fléau. Bon. Beaucoup de feels dans cette fiche. Vraiment beaucoup. C'est dur de te lire dans le sens où il est tellement adorable qu'on sait tous qu'il ne mérite pas ça. Toute ta fiche est magnifique, du début à la fin on est pris dans l'histoire, dans le récit de Kiseki, et puis je ne vais pas être impartial avec ta fiche parce que c'est tout de même le frère de Sasori. Je t'ai embarqué dans cette histoire, d'un coup, et waw, tu t'es encore plus prêtée au jeu que moi. Je trouve ça incroyable et à la fin je suis reconnaissant de t'avoir vu aussi impliquée dans Kiseki. Je pourrai décrire toutes les scènes, tous les passages et mettre un ressenti dessus mais ton message de validation ferait des pages Donc je vais juste te remercier pour ce fabuleux personnage, avec ses bons côtés et ses périodes un peu plus sombres. Bien évidemment, tu mérites une validation dés maintenant, et je cours faire mon travail pour qu'on puisse RP dés aujourd'hui Nous sommes heureux de t'annoncer que tu es validé(e) ! Sous peu, ton Identité sera peinte par la couleur des Hanyô et tu pourras ainsi envisager de commencer le jeu avec nous ! Pour fêter ta validation, nous t'offrons 3 points à répartir dans ton Yôki et 100 pièces d'or ! Nous allons encore te demander quelques devoirs : ✦ créer le sujet de ton Journal de Bord (JB) en premier ✦ remplir ton profil entièrement, c'est très important (n'oublie pas de générer ta feuille de personnage, pour placer tes petites pièces d'or) ✦✦ dans le cadre "Yôki", ajouter ça :
Bon jeu ! |
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