30 MAI 22intrigue terminée, résumé dispo ICI ; nous passons en novembre 1551 ; thème des avatars : sang et blessures.
1 MAI 22nouveau design et news ici ; intrigue toujours en cours (bientôt finie) ; thème des avatars : printemps.1 MAR 22Tous les groupes sont ouverts ; petit message de nouveautés ici ; intrigue toujours en cours (avance bien) ; avatars féminins priorisés 2 JAN 22Nouveau design mis en place + roulette qui reprend + thème des avatars : Kimono ! 16 DEC 21Sangeki a subi une refonte discrète, n'hésitez pas à lire le Guide pour en savoir plus. Le forum prend un nouveau chemin, avec l'aide de sa communauté ! 30 NOV 21nouveau sujet de petites news pour décembre qui approche ! n'oubliez pas vos calendriers de l'avent ! 25 OCT 21 Grosses MAJ ; nouveau design, nouveau codage + petits ajouts importants ; découverte ici 5 SEPT 21 !! RECHERCHE EXTERMINATEUR/SPIRITUEL !! Missions et quêtes ouvertes ; DC gratuit pour le mois ; changement de mois INRP pour juillet ; ménage de la rentrée fait (membres + sujets) 31 JUIL 21 Nouveau changement de design et petit événement léger hors intrigue pour s'amuser en attendant la rentrée ! 31 MAI 21 Un changement de papier peint pour Sangeki pour bien commencer le mois de juin avec des petits changements en vue ! Thème des avatars : Lanterne ; pour fêter la fin de notre premier évènement ! 2 MAI 21 Petite mise à jour avec quelques nouveautés, lisibles dans ce petit sujet ! Thème des avatars : enfance. 2 AVRIL 21 Ouverture du forum, allez lire le sujet d'ouverture pour une vague de feeels !
Super PV
SITUATION
Nous sommes en novembre 1551. La météo peu clémente apporte beaucoup de pluie et de vents froids. Les températures tournent autour de 10°c. Un sujet commun post-intrigue est ouvert à tous ; permettant de créer des rencontres et de ramasser tous les blessés présents. Une belle manière de faire son entrée parmi nous.
Le Guide contient toutes les informations relatives à notre univers (règlement, contexte, annexes ...). Contexte inspiré de plusieurs oeuvres, univers med-fantasy au Japon Féodal. Avatar 200x320px. Communauté chill, bienveillante et accueillante.
Et dire que tu ne sais même pas à quoi t'attendre pour la suite. Même si, ses doigts t'offrent un aperçu rapide, tu n'as aucune idée d'à quel point cela va être différent, et risque de bousculer bien des choses. En tout cas, pour toi. Allait-ce changer quoi que ce soit... Pour lui...?
« P... Peut être.. »
Ton souffle maladroit, et ta voix nouée trahit l'état dans lequel tu es, mais ta combativité qui continue d'essayer de lutter contre les brumes de cet enfer qu'était Sasori. Le contact de sa bouche, de ses crocs contre sa gorge ne t'aide pas, surtout qu'aussi prêt, il captive tout tes sens.... Notamment ton odorat, qui se gorge de l'odeur de sa peau, jamais goutée d'aussi prêt auparavant Faible grimace, quand il continue de jouer avec ton paradis, pour te préparer au mieux à sa chute. Il est plus attentionné qu'il n'y parait, car, il aurait pu y porter peu d'intérêt, non? Ou, peut-être désire il ne pas trop briser sa poupée, car il n'avait pas finit de jouer avec...
A nouveau, ton regard curieux et embrumé cherche à capter cette main dont il se sert pour se stimuler. S'approche. Tout s'accélère, et pas uniquement les battements de ton coeur. En plus d'avoir attendu, désiré cet instant, c'est entre ses bras que tu le vivra. Tu l'avais rêvé, mais jamais réellement espérer. Avait accepté de devoir le gâcher sur un mâle peu digne d'intérêt. Pour, t'entrainer? Te préparer? Et au final, il n'en fut rien. Car il avait veillé au grain. Et ce soir, c'est lui qui se tient, conquérant, et prêt.
Mais, cette attention. Elle te prend de court. Et il arrive, plus efficacement qu'avec ses paroles et ses menaces, te mener au silence. Ton corps cesse un instant de remuer (que ce soit pour quémander, ou repousser) ton souffle se coupe, un instant, et tes grognements cessent. Tes pupilles s'affinent, et se fixent sur lui, pour le redécouvrir à ton tour, d'un oeil nouveau. Tu balaies au mieux ce trouble qui vient embrouiller ton esprit un instant et, en déglutissant, l'une de tes mains se lève, pour se déposer sur la sienne, qu'il a aventurer sur ta joue. Pas pour la griffer cette fois. Mais pour entrelacer tes doigts aux siens, et la maintenir à cette place. Et, même si la manière dont tu le dévore des yeux, A présent entre impatience, et nervosité (car tout n'est plus qu'une question de secondes, tout est concret, réel, présent.) Tu viens tout de même murmurer, cette confession honteuse, et interdite. D'une voix étrangement bien plus douce, bien que toujours aussi chaude, que précédemment.
« Prend moi, Sasori.. »
Encore une fois, la limite entre ordre et supplication est flou. Mais vu ce ton brûlant et tendre que tu as adopté, il est aisé de comprendre ce qu'il en est.
Prend le, Sasori. Saisit toi de ce qu'une stupide enfant comme moi peut t'offrir de meilleur. De plus précieux. Ce qu'on réserve religieusement pour son époux, ou son dieu. Car tu es bien plus que les deux. c'est à toi que j'accepte de le donner. Alors prend le. Et prend moi.
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Sasori
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01/02/22, 02:46 pm
Sasori
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juin 51. Province de Mino. // Sasori a fait profiter les fourmis de Mino de sa présence et rentre précipitamment au domaine lorsqu'il apprend ce que fait Izanami.
Spoiler:
Sa réponse vague agrandit ton sourire. Ce « peut-être » difficilement prononcé, entre deux vagues de plaisir, entre les ondulations de tes phalanges dans son corps, il te ravit plus que de raison.
Bien qu’elle essaie de laisser parler son insolence, la fébrilité de son corps la trahit et ne lui permet pas de garder cette confiance imprudente qu’elle possédait avant d’être allongée dans ce lit. Cette couche qui va être témoin de cette union interdite, entre le maître et l’élève.
Entre un tuteur et son enfant. Tu ne l’oublies pas. Izanami est une enfant. Que tu as recueillie. Que tu as élevée, éduquée.
Mais tu aimes ça. Braver les interdits. Les mœurs. Briser les règles. Tu n’as aucun tabou, aucune limite.
Lorsque tu te redresses, des frissons te parcourent. Tu n’es plus capable d’attendre. Tu deviens trop impatient, tu veux la prendre maintenant.
La fièvre continue de se répandre dans tes veines, alors que tu t’arrêtes un instant. Ton esprit est légèrement perturbé lorsque ta main va se glisser sur sa joue, dans un geste tendre. Une délicatesse que l’on ne te connaît pas, que l’on ne voit jamais avec toi. Parce que tu es Sasori, tu aimes la violence, tout va vite, tout doit être à ton image.
Tu ne sais pas si c’est cette chaleur qui te monte à la tête, peu habitué à ces changements de températures soudains dans ton corps, ou s’il s’agit d’une demande silencieuse. Pour savoir si elle est prête. Si elle te donne le feu vert. Tu ne sais pas, et tu n’es pas en état d’y réfléchir convenablement.
Une main saisit ces doigts tendre. Tu t’attends presque à ce qu’elle se moque, à ce qu’elle te griffe, qu’elle te balance une réplique cinglante. Mais rien ne vient. Bien au contraire, ses doigts saisissent les tiens, s’accrochent, s’y emmêlent.
Un étrange sentiment te parcourt. Une vague de chaleur bien différente de l’ambiance actuelle. De l’acte sexuel qui se prépare. L’impression que ton cœur muet résonne contre tes tempes.
Mais peut-être est-ce dû à l’étourdissement du venin.
Sa voix vibre à tes oreilles, caressant avec violence tes tympans. Un frisson descend cruellement jusqu’à ton membre tendu, prêt à passer à l’action. Tu passes ta langue sur tes lèvres, et perdu dans ses yeux, ton bassin s’avance.
Tenant bien en place ses hanches, tu pénètres son antre.
Tu ne te dépêches pas. Mais tu ne prends pas ton temps non plus.
Tu pousses ton bassin, jusqu’à ce que ton membre soit entièrement happé par le corps d’Izanami.
Durant un instant, tu te forces à rester statique, observant ses réactions, te délectant de sa douleur. Tu te penches vers elle, posant de chaque côté de ses hanches deux de tes mains, prenant appui dessus. Tu essaies de maîtriser les frissons qui t’assaillent tandis que tu viens déposer ta bouche sur celle d’Izanami.
Tu l’embrasses. Tu lui donnes un baiser, qui scelle totalement votre union.
Celui qui ne pleure pas la fin de ta vie, mais plutôt le début de celle ci. Il dit adieu à l'enfant, et accueille l'adulte que tu es déjà. Que tu es devenue... Mais que Sasori, en ce geste symbolique, confirme ce fait, brisant ce qu'il te reste de pureté, et d'innocence.
Dire que cela te transcende de plaisir serait mentir. Si ses doigts furent la bienvenue, de son membre imposant, le yokai te ramène à la raison en te rappelant que jamais rien n'est aussi beau, et, alors qu'il creuse entre tes reins, tu sens une vive douleur mordre ton ventre, assez pour te faire, instinctivement, reculer celles ci. Une grimace se dessine sur tes traits fins, et tes doigts se resserrent autours des siens. Mais, sachant ce qu'il faisait, Sasori finit par faire céder ta corde de velour, dans une nouveau, et dernier réel pique de douleur, souillant les draps d'un fin filet écarlate, comme preuve finale de ta pureté préservée.
Tes membres et tes muscles tremblent, alors que vous êtes immobiles, l'un contre l'autre, Ton maître enfouis entre tes chairs. Malgré la douleur, il n'est pas difficile de le sentir, en ton étroitesse. Cette présence presque parasite qui pour le moment, est encore cause de souffrance certaine, d'inconfort brûlant. Mais pourquoi tu ne peux pas t'empêcher, pourtant, d'adorer ça? Surement parce que, à son image, tu trouves satisfaction dans la douleur, et que si tout avait été trop doux et facile, Un tel don de toi, un tel sacrifice, pour ton amour pour lui si pur et brute, n'aurait pas eut le même impact?
Ta poitrine se soulève, et se creuse, et de sa bouche, il vient un peu plus troubler ton souffle que tu tentais de réguler, te concentrant dessus pour essayer d'étouffer un peu cette douleur lancinante entre tes cuisses, où il s'est fait une place serrée. Et, sans une seule plainte ou grognement, tes lèvres répondent aux siennes, au début en guise de réconfort... Puis, la peine fait place à la renaissance de ta passion qui, même sous ces douleurs, avait besoin de bien plus pour être éteinte. Après quelques secondes, tu mêles ton souffle chaud, et haletant, à vos embrassades. Frôles, pinces du bout de tes dents les lèvres de ton amant de ce soir, qui surplombe ton corps, territoire conquit vaillamment. Et, alors que ta première main reste agrippée à la sienne, la seconde, elle, vient se glisser dans la nuque, à la naissance de ses cheveux courts, pour t'y tenir. Le serrer un peu plus contre toi, comme pour vérifier une énième fois que tout ça est bien réel, et pas à nouveau un de tes rêves, de tes fantasmes.
Cette fois, tu ne romps pas le baiser, non. Tu t'y offres, corps et âme, au sens littéral du terme, alors que, secondes après secondes, tes cuisses se décrispent de ses hanches masculines, plaquées aux tiennes. Tu ne dois pas le décevoir. Et malgré la douleur encore présente, tu es prête pour la suite, tu veux l'entendre souffler de plaisir, au creux de ton oreille, Le sentir se délecter du moindre centimètre étroit qu'il parcourra en toi, Découvrir le moindre de tes recoins, jusqu'à les connaitre sur le bout des lèvres, et se servir pleinement de toi, autant qu'il le désirera, pour se satisfaire, prendre son pied, jusqu'à l'extase. Un summum, dont toi seule sera spectatrice, Un orgasme, dont toi seule sera la cause. Et qu'il souille le creux de tes reins, De l'essence de ses vices.
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Sasori
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01/02/22, 04:53 pm
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juin 51. Province de Mino. // Sasori a fait profiter les fourmis de Mino de sa présence et rentre précipitamment au domaine lorsqu'il apprend ce que fait Izanami.
Spoiler:
Tu t’introduis en elle. Pousses ce membre gorgé de désir dans son antre.
Tu es mitigé entre vouloir lui faire mal et lui épargner cela. Mais tes vices démoniaques prennent le dessus. Et dans un élan contrôlé, tu te retiens de bouger. Tu maintiens ton bassin en place. Le temps d’observer son visage. L’espace d’un instant, avant de cueillir ses lèvres.
L’intérieur d’Izanami est si serré, que c’en est presque douloureux pour toi. Bien que flatteur, étant donné que tu as confirmation que personne ne s’est encore aventuré sur ce chemin. Tu es le seul et l’unique. Son maître, son mâle dominant, celui qui a l’ascendant sur elle. Qui a le pouvoir, le contrôle.
Oui, Sasori. Tu es le seul. Et rien que cette pensée, te fait frémir.
Elle te rend ton baiser, d’abord avec une hésitation, une retenue qu’il n’est pas nécessaire d’expliquer. Mais peu à peu, elle semble se détendre, vouloir jouer de nouveau, jusqu’à mordre ta lèvre avec une passion qui revient lentement. Ton membre palpite à l’intérieur de son corps, impatient de prendre son pied.
Cette main serrée autour de la tienne, tu la portes au-dessus de sa tête, perdu sur quelques mèches émeraude de ses cheveux.
Tu ne peux t’empêcher d’être fier de toi, et d’en vouloir plus que ça. La douleur de ce premier échange va laisser place au plaisir, car tu sais quoi faire. Tu sais comment t’y prendre. Tu la feras monter si haut qu’elle ne se souviendra que de ton nom. Qu’elle en demandera encore et encore.
Oui, Izanami. Il sera le seul. Et rien que cette pensée, le fait trembler.
Ses cuisses se détendent. Le baiser s’interrompt selon ton bon vouloir, un filet de salive vous connecte quelques secondes. Tu te redresses à nouveau. Deux mains viennent soulever ses cuisses, deux autres tiennent fermement ses hanches.
Un regard carnassier se plonge dans ses yeux dorés.
« Je vais te montrer, Izanami, comment moi, Sasori, vais punir ton insolence. Je mets fin à tes petits jeux puérils aujourd’hui. »
Un premier coup de bassin est donné. La friction de vos deux sexes te rend presque désordonné. Laissant tes instincts de prédateur prendre le dessus.
Tu la maintiens d’une poigne de fer, elle ne peut rien faire à part subir. Le bruit de claquement résonne une première fois dans la pièce, comme si le silence méritait d’être brisé. Tu recommences, encore et encore, dans un rythme d’abord soutenu.
Jusqu’à perdre totalement pied. Et chercher à t’introduire de plus en plus profond en elle. La sauvagerie prend le dessus. Tu ne contrôles plus rien.
Chaque parcelle de ton corps est sien, Comme chaque parcelle du sien, est tien. Car c'est entre tes cuisses qu'il est engouffré. C'est ta main qu'il tient, entre tes mèches de cheveux. C'est tes cuisses qu'il garde ouvertes, avec autorité, Et c'est dans tes hanches fermes et généreuses que la pointe de ses griffes s'enfoncent. Si l'idée déjà, te faisait frémir, Te trouver sur le fait accompli te prive de la possibilité de réfléchir. Comme si tout ton être et ton esprit étaient bien trop brûlants pour fonctionner correctement.
Et c'est avec une faim nouvelle et insatiable, que tu le dévore des yeux alors qu'il prononce ta sentence, Et l'accompagne de la chute du couperet, représenté ce soir par ses hanches qui s'éloignent des tiennes, pour venir les rabattre a nouveau. Sans pitié. Comme on pourrait s'attendre de lui.
Tu ne réponds pas, car la première chose qui s'échappe de ta bouche après cela, est un bruyant gémissements, déchire entre ce reste de douleur, et ce début de plaisir. Ventre se creuse, dos qui se cambre. Ce n'est que le début, Izanami. Parce que comme promis, il te punis, Et tu n'as qu'à peine le temps de te remettre de ce premier coup de hanche, qu'un second s'abat. Puis un troisième. Un quatrième. Et voilà qu'une valse envieuse et brusque s'entame, Comme s'il avait épuisé sa patience en ayant la délicatesse d'attendre que tu t'habitues à sa présence, a cette grosseur intruse qui gonflait ton ventre.
Cette fois, il gagne. Car tu n'es plus capable de t'exprimer. Pour le moment? La chaleur qu'il fait naître entre leur deux bassins qui s'entrechoquent, et qui berce la pièce de ces claquements moites et reconnaissables entre milles, Surtout accompagnés par ta voix, qui chante maladroitement, encore timide et retenue au mieux, les louanges de celui qui te saillit et ce début de plaisir que tu découvres pour la première fois, prenant la main sur cette douleur, lentement mais sûrement, comme si elle n'avait jamais existé.
Il n'y a pas plus beau, et pourtant lubrique tableau que toi, que vous. Étendue sur ta couche où tu dors paisiblement, seule, depuis des années. Nue, comme au premier jour. Poitrine qui rebondit, au rythme effréné du démon qui se complaît entre tes reins. Lèvres entrouvertes pour laisser passer chaque glapissement chaque soupirs. Et ces paupières, qui couvrent pudiquement tes yeux que tu ne peux plus maintenir ouvert. Comme si la vision de Sasori, en pleine possession et utilisation de ton corps serait insoutenable pour toi, Ne ferait que signer ta fin. Elle se tait, la sauvageonne qui mordait son maître il y a encore quelques minutes. Sasori semble avoir trouver un moyen de la faire obéir, de la plus radicale, mais plaisante des façons, Et le fluide humide de son plaisir vient rapidement souiller les draps, et diluer le sang qu'il venait de faire couler.
Au vu de la mélodie de vos corps, Du grincement de ton lit, souffrant de sa fougue masculine, Et de ta voix qui se fait de plus en plus bruyante, a chaque nouveau coup de hanches qu'il te fait subir, Bientôt, tout le domaine sera témoin de votre union outrageusement interdite, Vile pécheresse, offerte à ton dieu. Et, après de nombreuses minutes dans la plus plaisante des agonies, Tu arrives à faire entendre ta voix, Déformée par l'excitation, et le plaisir. Comme un appel à l'aide. Un appel à plus. Un cri du coeur, qui ne trouve plus les mots.
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Sasori
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✦ Yôkai ✦ Niveau 7
01/02/22, 06:12 pm
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juin 51. Province de Mino. // Sasori a fait profiter les fourmis de Mino de sa présence et rentre précipitamment au domaine lorsqu'il apprend ce que fait Izanami.
Spoiler:
Ce son, sorti de sa bouche te fait vibrer autant que sa gorge. Tu ne sais combien de femmes ont subi tes violences sexuelles, tes ébats encore plus chaud que le feu lui-même. Celui que tu peux créer d’un simple claquement de doigt. Celui qui parcourt depuis ta naissance tes veines.
Izanami est particulière. C’est comme cueillir une fleur rare. Qu’on aurait mis du temps à faire pousser. Aucune garantie de départ, elle aurait pu partir, fuir, retourner à l’état sauvage.
Mais elle ne l’a jamais fait. Tu as ce don de persuasion, ce don naturel à écraser les Yôkai plus faibles que toi. Tu as cette capacité à asseoir ton autorité en te tenant simplement debout devant un petit Yôkai. Et Izanami avait plié. Même si elle avait fait de la résistance au début, évidemment. Tu l’avais enfermée, attachée, punie, privée de nourriture, tu lui avais fait du chantage pour qu’elle se comporte bien.
Tu avais tendu la carotte devant son nez.
Et aujourd’hui. Tu prends sa virginité. Tu voles son corps. Sans aucune honte. Sans une once d’hésitation.
Ses cris remplissent le silence de la pièce, accompagnés par le claquement de vos peaux l’une contre l’autre. Tu ne cesses de vouloir l’entendre, encore, et toujours plus. Tu veux la pousser à ne plus pouvoir retenir les échos de sa voix merveilleuse.
Tes soupirs se font de plus en plus nombreux. Tu commences à prendre du plaisir à aller si vite, si profondément, si sauvagement. Sa chair épouse parfaitement les courbes de ton membre. Tu frissonnes. Une main quitte une hanche pour se poser avec assurance sur l’un de ses seins rebondis. Tu taquines et titilles son téton avec empressement.
Un énième coup de bassin plus violent, ton prénom prononcé avec difficulté, et un râle qui s’échappe de ta gorge. Tu t’arrêtes presque subitement, sors sans délicatesse ton membre de ses cuisses et après avoir mordu ta lèvre inférieure, tu lui souris.
Ce genre de sourire prédateur dont toi seul as le secret.
A l’aide de tes quatre bras, tu la fais changer de position. Remarquant au passage l’humidité des draps, souillés par vos échanges. Tu la mets sur le ventre, relevant son arrière train. Qui te fait délicieusement face à présent. Léchant avec envie la commissure de tes lèvres, tes mains se posent de nouveau sur ses hanches.
Alors qu’une autre appuie sur le haut de son dos.
Tu te replaces face à son entrée. Et y pénètres avec violence une nouvelle fois.
Engageant alors un rythme endiablé de va-et-vient, une succession de soupirs de ta part, et l’explosion du mercure dans le thermomètre.
Il est fou, ce manque quasiment instantané, que tu ressens dès qu'il s'extirpe. Tu commences à comprendre, l'addiction qui naissait de ces péchés. Tu n'en est qu'aux prémices et pourtant, ton corps commence déjà ses caprices. Il peut l'entendre, au léger grognement confus, et plaintif qui fend tes lèvres, mais pas longtemps. Parce que ces mains, souveraines, et trop nombreuses pour une seule femme, disposent de ton corps comme elles en ont envie, et te mouve sans aucune peine. Même si, en temps normal, tu mets un point d'honneur à ne pas tourner le dos à tes adversaires, on dirait que ce soir, tu acceptes de faire une exception.
Cambrée, poitrine pressée contre les draps, et croupe offerte au prédateur qui se délecte surement de la vue onirique, sans savoir pourquoi, tu te sens presque mieux, en cette position, surement parce que tu n'as pas la pression de son regard qui te détaille toi et la moindre de tes réactions, de tes rictus, comme si tu pouvais te permettre de te laisser aller, de ne plus maintenir ce voile de perfection qui tu préservais avec soin, pour ne jamais décevoir le maître. Et surement aussi car c'est bien là la position la plus primitive, et naturelle qui soit. Bestiale, et instinctive, comme le prouve la manière dont ton corps se voûte.
Quelques secondes à peine, avant qu'il ne retourne conquérir ce qu'il a déclaré sien. Sens ta peau brûler, là où il appose ses mains, comme un fer chaud, pour te graver à jamais, et te garder sienne. Mains libres, qui s'étendent au dessus de ta cascade de cheveux verdâtres, pour saisir à nouveau les draps, qui subissent ta poigne, et la griffure de tes ongles accérés, et à nouveau, la mélodie enivrante de vos corps qui bercent la pièce, et celles aux alentours. Il te faut deux, trois, peut-être quatre coup de hanches fiévreux pour que tu fasses à nouveau entendre ta voix, et, visage blotti contre le lit, elle s'y étouffe. Ca t'arrange, t'aide à faire taire ces gémissements magmatiques qui s'échappent de tes lèvres sans que tu ne saches les contrôler, ni eux, ni le feu qui ne faisait que monter, au creux de ton ventre. Surtout, en ce nouvel enchevêtrement de vos corps. Quelque chose à changer, sans que tu ne saches quoi, peut être l'apprendra tu plus tard, en découvrant et en connaissant mieux ton corps. L'inclinaison changeante, bien plus dirigée, et frottant inlassablement contre le bas de ton ventre, stimule cette zone sensible et érogène, et, s'il est toujours à l'étroit au fond de toi, cela intime aussi qu'il maltraite sans pitié la moindre parcelle de ton être, jusqu'à ses plus délicats recoins. Et ça, Izanami, tu le sens bien.
Feuille de personnage Barre d'xp: (3/36) Pièces d'or: 3353
Sasori
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✦ Yôkai ✦ Niveau 7
02/02/22, 09:47 am
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juin 51. Province de Mino. // Sasori a fait profiter les fourmis de Mino de sa présence et rentre précipitamment au domaine lorsqu'il apprend ce que fait Izanami.
Spoiler:
Cette position convient à votre nature. Vous êtes des bêtes, des démons, et le pire des vices pour les créatures de votre espèce est le sexe. Tu t’enfonces en elle avec violence, sans retenue, maintenant ses hanches pour l’empêcher de bouger, de s’en aller, de reculer.
La sensation de son corps te fait trembler, à mesure que les coups de bassin claquent contre sa peau, tu te sens flotter. Tout est bon, Izanami est exquise et tu ne regrettes pas de l’avoir amené jusque-là. Jusqu’à ce moment, où, c’est encore toi qui prends. Tu as protégé cette virginité, de bien des manières, et aujourd’hui, tu sais, tu as conscience, que tu n’étais qu’un homme possessif.
Izanami est tienne.
Si elle devait se défaire de toi, tu la tuerais. Pour qu’aucun autre homme ne goûte à ce corps.
Tu aimes sentir qu’elle prend du plaisir. Avoir ce pouvoir sur elle, sur ce désir si longtemps réfréné, jamais exploré. Elle découvre le partage d’une nuit torride, et c’est avec toi qu’elle le fait. Oui, avec toi, Sasori, son maître.
Votre relation est malsaine. En une soirée, elle vient d’être salie par vos deux corps unis.
Ses gémissements étouffés dans le drap, ses doigts qui s’accrochent à eux comme si sa vie en dépendait. Un rictus apparaît. Tu ralentis la cadence quelques secondes, profitant de cet instant de répit pour onduler du bassin, et jouer avec elle.
Tu te penches vers elle, abandonnes ses hanches, pour venir surplomber son corps du tien. Toi, immense. Elle, si petite. Aucun mot n’est nécessaire, le simple fait de mélanger tes soupirs et ses plaintes sensuelles montrent à quel point vous vous accordez parfaitement. L’harmonie est parfaite.
Tu épouses la cambrure de son dos pour venir glisser tes mains sur ses poignets, t’appuyant sur le lit avec tes deux autres bras, et ne lui assènes que de petits coups de reins à une cadence irrégulière.
Bien vite, une seule main est suffisante à maintenir ses deux poignets, tandis que l’autre attrape tant bien que mal son menton, pour tourner son visage vers toi. Même comme ça, tu veux la voir. Même comme ça, c’est toi qui décides. Elle ne pourra jamais se cacher de toi.
« Regarde moi, Izanami. Pour que tu n’oublies jamais qui je suis réellement pour toi. »
Des mots qui ne provoquent pas volontairement. Des mots lourds de sens. Non, Izanami, elle ne l’oubliera jamais, ce Yôkai qui lui a tant donné, et tant pris, jusqu’à saisir son corps de manière charnelle, dans une danse endiablée et érotique.
La brume de ce plaisir nouveau t'enveloppe, et tu ne sais plus où donner de la tête. Tout semble lointain, comme cette prise de bec entre vous, alors qu'elle ne fut vieille que de quelques dizaines de minutes. C'est fou comme le corps et l'esprit peuvent être capricieux quand l'un agit sur l'autre. Tu dérives, te noies dans cette immensité de sensations nouvelles, qui te submerges. Mais, autant capable de te faire chavirer, que de te permettre de te retrouver, Sasori t'accorde un instant, et te ramène à lui.
La sensation brûlante et rassurante de son corps qui s'étend sur le tien calme ta voix, nouée et serrée, presque douloureuse et sèche de trop s'exprimer. Le feu cesse de grandir, se stabilise, mais ne décroit pas. Au lieu de menacer et tout consumer, il vacille dangereusement, alimenté avec parcimonie... Puis, à nouveau plus vigoureusement, de ces mouvements courts et plus secs, sur un tempo désordonné, comme pour s'assurer que tu ne puisses pas t'adapter, t'habituer et qu'il te prenne toujours au dépourvu.
Tu te sens moites. Tu l'es. Son torse contre ton dos scindent un peu plus vos peaux, votre chaleur, la sueur de vos efforts, et entre tes cuisses, le glissement humide et incessant de sa virilité se complait dans la preuve honteuse de ton état, de ton excitation, et du plaisir que tu prends, ou plutôt, qu'il te donne. Bien qu'insoumise, tu sens cette main venir saisir ton menton, et déloger ton visage de ces draps, victimes de vos ébats. Haletante, les lèvres légèrement souillées, et brillantes de ta salive, tu rouvres tes yeux difficilement, et dépose ta pupille dilatée sur l'esquisse de son visage, satisfait, corrompu, désireux. La couleur miel de tes iris contraste entre tes mèches émeraude dont quelques unes collent à ta joue rougie, ou ton front. Et les mots qu'il prononcent, résonnent en toi plus que de raison. Et pourtant, tu ne peux qu'obéir.
Pourquoi est-ce que tu le trouves encore plus beau que d'habitude? Parce qu'il revêt de cette forme démoniaque qu'il ne retient pas, et qui appelle et satisfait la part de toi qui lui est semblable? Parce qu'à ce moment précis, il n'a d'yeux que pour toi? Parce que tu le sens, là, niché entre tes reins, à te compléter et te faire te sentir entière? Comme si sa présence, ici lubrique, était tout ce te manquait? Parce que ceci est annonciateur de début, de quelque chose? Tu l'ignores. Tu t'en fiches. Tu n'es pas en état de réfléchir. Tu n'as d'yeux que pour lui, et ne vis, à cet instant précis, que pour qu'il continue de te souiller.
Toujours à le fixer, captivée, hypnotisée, tu cherches à reprendre ton souffle, haletante comme une bête sous une chaleur cuisante, lèvres entrouvertes. Et tu t'attends à ce que, maintenant qu'il peut lire la détresse délicieuse dans tes yeux lorsqu'il te brusquera à nouveau, il reprenne son rythme fiévreux. Doigts enroulés autours des doigts, et muette, comme s'il avait arraché ta langue en même temps que ton hymen, tes yeux, de toute façon, parlent à ta place, comme tes hanches qui, timides mais pourtant désireuse d'apprendre, se mettent à se mouvoir en se calquant sur son rythme, pour optimiser chacun de ses coups de reins et surtout, lui permettre de s'enfoncer un peu plus en cette union autant sacrée, qu'elle était maudite.
Comment pourrait-elle oublier ce que tu es Sasori? Toi qui est tout pour elle.
Feuille de personnage Barre d'xp: (3/36) Pièces d'or: 3353
Sasori
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02/02/22, 10:33 am
Sasori
Don’t look up without permission. It’s unpleasant.
Feat : Ryomen Sukuna by Lykos
it feels like
you know you're mine
juin 51. Province de Mino. // Sasori a fait profiter les fourmis de Mino de sa présence et rentre précipitamment au domaine lorsqu'il apprend ce que fait Izanami.
Spoiler:
Son regard te donne des frissons. La lueur qui y est glissée, la soumission dont elle fait preuve, son silence. Tout a une signification. Ses paroles ne sont pas nécessaires, pour voir ce qui se cache dans le fond de ses yeux. Une admiration sans limite, une adoration qui te plaît bien plus que tu ne voudrais te l’avouer.
Au creux de ses reins, tu te sens bien, comme complet. Comme si ce que tu avais perdu il y a longtemps, revenait aujourd’hui, avec elle. Tu ne crois plus en l’amour, et pourtant, ce que tu ressens pour elle, n’en est-ce pas une forme ? Malsaine, impure, et sale, mais tu as de l’affection pour elle.
Mais d’ici à ce que tu en prennes conscience, il y a encore de la route.
Tu te plais à rouler ton bassin contre ses fesses rebondies, à sentir le contact de son dos contre ton torse, et tenir ces poignets serrés dans ta main, contre les draps. Tout est humide, même l’air semble ne plus satisfaire tes poumons. Les lèvres d’Izanami semblent t’appeler.
Et tu lui donnes à nouveau un baiser. Tu n’as jamais donné d’importance à ces échanges. Même si aujourd’hui, ta bouche veut dire quelque chose.
Ta langue glisse sur ses lèvres, avant de demander le passage. Tu entames alors un ballet doux et sensuel avec la sienne, mélangeant le plaisir de la prendre lentement mais profondément, calquant le rythme de ce baiser langoureux à celui de tes hanches contre son postérieur.
Lorsque, trop vite, le souffle se fait trop court, tu t’éloignes, laissant ce petit fil de salive qui disparaît peu à peu entre vos bouches, tu te permets de la regarder. À nouveau. Quelques instants. Et comme un secret, un chuchotement incontrôlé, une pensée dépassée.
« Tu es magnifique. »
Tu te redresses légèrement, tiens toujours ses poignets, pour la dominer complètement. Ton rythme reprend, folie et fièvre ne font pas bon ménage en toi. Tu accélères, encore et encore, au point de ne plus pouvoir retenir quelques râles s’échapper de ta gorge.
Tu te sens monter, le plaisir t’aveugle, mais tu tiens bon. Tu lâches ses poignets, et te positionnes correctement. Tu tends ses bras vers l’arrière et la pillonnes avec violence, sans retenue à nouveau. Le buste suspendu dans le vide, maintenu par une main sur son ventre, et ses poignets fermement tirés vers toi, tu te déchaînes complètement.
Cela fait longtemps que tu n’as pas pris de cette façon. Que tes pulsions démoniaques n’ont pas été libres à ce point.
Cet instant, yeux dans les yeux, dure une délicieuse éternité. Et même si ta vision est floue, embrumée par l'instant, tu ne vois que lui. Mais, en fut-il un jour autrement, depuis qu'il t'avait prit sous son aile? Non, tu n'avais toujours eut d'yeux que pour lui, et tu l'avais exprimé de biens des façons. En le mordant. L'insultant. Le maudissant. Puis en lui obéissant, en l'attendant au pas de la porte, quand son retour se faisait trop long. Ou bien, en l'ignorant. En l'évitant. Le provoquant. Tout ça, toujours dans le même but. Qu'il te regarde pour ce que tu es.
Le fait-il, maintenant qu'il danse au creux de ton ventre?
Ce baiser, tu l'accueilles sans broncher. Même tes yeux refusent de se fermer, comme pour pouvoir le dévorer des yeux de plus près, savourer ses lèvres, cette langue contre laquelle la tienne se blottit et s'enroule, enlace et valse. Ton coeur bat à tout rompre, d'une adrénaline différente de celle que tu peux subir dans une chasse, dans un combat. Tout est plus chaud. Amplifié. Pire, et mieux à la fois. Et quand sa bouche quitte la tienne à contre cœur, pour vous permettre de retrouver votre souffle avec peine, ces quelques mots, confession discrète, t'arrachent un frisson qui nait de ta nuque, et qui se meurt au bas de tes reins. Tu le fixe, et si ta peau habituellement pâle, n'était pas déjà si rougie à cause de l'effort, et du plaisir, peut être aurait tu gagné quelques couleurs, de cette bouche qui ne t'avait pas habitué à de tels aveux, et cet ton qui l'accompagne.
Et, comme pour t'achever, voilà qu'il reprend cette danse infernale. Entre ses doigts, tes poignets sont retenus et utilisé pour te mouvoir, à sa guise. Sans peine, force brute, il te fait quitter le refuge que sont les draps, et ton corps ne dépend plus que de sa bonne volonté. Il martèle, sans pitié, comme s'il devait compenser cette touche de douceur murmuré, par la bestialité de ses vices. Et, comme si tu y répondais, à ses mots, et son corps à la fois, ta voix n'a plus de moyen de se taire, ton esprit n'a plus la force de te retenir. Le feu à nouveau, brûle plus fort. Douloureusement insoutenable. Tu ignores ce qui te guettes, la limite que bientôt, il réussira à atteindre, à force d'acharnement. Geins, cris, gémis, couine. Ta voix est le porte parole de ce déferlement de sensations qui prend d'assaut ton corps qui rebondit, ta croupe comme tes seins dans le vide, au rythme qu'il impose de ses hanches sanguinaires. Tu ne réponds plus de rien, et ton corps arrive à son terme, continue de monter dans les tours, proche de l'extase, comme le trahit le tremblement de tes cuisses, et ton souffle qui se coupe parfois, quand le plaisir est trop fort. Enivrant. Plus de douleur, entre tes cuisses, il s'est fait sa place, comme si, maintenant, tu n'étais plus que modelée pour lui, embrassant le moindre centimètre, le moindre relief de ce membre nerveux, corps impatient de céder, lorsqu'il aura déversé au plus profond de toi, la plus savoureuse et brûlante des sèves.
Feuille de personnage Barre d'xp: (3/36) Pièces d'or: 3353
Sasori
Sasori
✦ Yôkai ✦ Niveau 7
02/02/22, 11:30 am
Sasori
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juin 51. Province de Mino. // Sasori a fait profiter les fourmis de Mino de sa présence et rentre précipitamment au domaine lorsqu'il apprend ce que fait Izanami.
Spoiler:
Sa voix n’est plus capable d’être retenue. Tu fais en sorte qu’elle ne se cache plus, qu’elle expulse par des cris le plaisir qu’elle ressent. Pour une première fois, elle aura connu le meilleur. Le plus violent. Une montée rapide vers le septième ciel qui se profile également pour toi.
Très bientôt.
De longues années sont passées, sans que tu ne jouisses d’un tel bonheur. D’un tel corps contre le tien. D’une telle intensité. Cela te rend fou. La douce fièvre n’aidant pas à garder les idées claires, à te retenir encore pendant longtemps, comme à ton habitude. Tu te sens sur le point de craquer.
Son corps est à ta merci. Disposé et façonné par toi, ses chairs ne désireront que toi à présent. Tu le sais. La première fois a une signification, elle marque un esprit profondément. Tu lui laisses cette brûlure au creux de ses reins, une cicatrice qui, jamais, ne disparaîtra.
Tu imposes le rythme, la position, le maintient de son corps suspendu, ses seins qui rebondissent, signe que tout n’est que sauvagerie.
Elle crie, de plus en plus fort, sans pouvoir se retenir. Tu laisses de plus en plus de râles s’échapper toi aussi, tout est flou, brouillé par le plaisir, par l’orgasme qui monte, et monte encore. Quelques coups de bassin plus forts, plus profonds. Tu lâches ses bras, viens entourer tes bras autour d’elle et la maintient contre toi.
Tu te crispes, te tends, ton membre pulse, déverse dans un ultime soupir la sentence de cet ébat. Tu ne t’es pas retiré, tu ne t’es pas écarté, tu t’es contenté de la serrer contre toi, une main à son cou, les autres échouées sur sa peau claire et douce.
La chaleur entre ses cuisses ne diminue pas, mais tu te sens doucement redescendre. Bien que ta tête tourne un peu, le plaisir, la fièvre, la chaleur que tu n’as jamais connue finalement. Tu transpires, tu souffles difficilement, tu te remets lentement de ce puissant orgasme que tu viens de subir.
Secondes. Minutes. Heures? Tu as perdu la notion du temps. Et même celle de l'espace te devient flou. Tu ignores depuis combien de temps il te malmène, de la plus belle des manières. Tu ignores combien de coups de reins il t'a asséner, encore et encore. Mais ce que tu sais, c'est que tu ne tiendras pas longtemps.
Il suffit d'une étincelle, et la voilà. Ce foudroiement ultime. Ce corps qui saisit le tien, et le serre. L'emplis sans vergogne, dans un râle qui fait l'effet du plus puissant des aphrosidiaque. Une nouvelle sensation, intense. Celle de ton corps, qui se tend. Chaque muscle. Chaque nerf. Et cette surchauffe, dans ton bas ventre, qui cède. Qui se répands, comme du poison, dans chaque parcelle de ton corps. Muette, un premier instant, soufflée par l'intensité qui te saisit. Et puis, un dernier cri, qui accompagne l'orgasme qui te transcende.
Entre ses bras, tu n'es plus. Tes muscles tremblent et, heureusement qu'il te tient, possessivement, te retient, car, comme vidée de tes forces, tu te laisses aller à cette étreinte, contre laquelle tu pèses. Ton souffle est chaotique, tu as l'impression que tu manques d'air, et qu'il est encore plus à l'étroit, entre tes cuisses, maintenant que tes chairs palpitent et l'étreignent plus encore. Incapable de parler. Une de tes mains vient agripper la sienne, s'y tenir inutilement, chercher et sentir la chaleur de sa présence réconfortante, comme un instant perdue, presque effrayée de ce que ton corps vient de te faire découvrir, comme un louve, craintive d'un humain qu'elle verrait pour la première fois. Tu ignores ce que c'était, et tu ignores que c'est le début d'une addiction, qu'il aura fait naître en toi. Que la faim ne fait que commencer, et qu'entre ses bras, tu voudras toujours sombrer...
Mais quand ses bras ne seront pas là, qui pourra palier à son absence?
Feuille de personnage Barre d'xp: (3/36) Pièces d'or: 3353
Sasori
Sasori
✦ Yôkai ✦ Niveau 7
02/02/22, 12:21 pm
Sasori
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juin 51. Province de Mino. // Sasori a fait profiter les fourmis de Mino de sa présence et rentre précipitamment au domaine lorsqu'il apprend ce que fait Izanami.
Son corps tremble, se crispe à son tour. En même temps que le tien qui éjecte tes caprices dans son antre. Tu la tiens contre toi. Ta tête est rejetée en arrière, encore perdue dans cet orgasme violent et exquis que vous venez d’avoir tous les deux.
Tu peines à retrouver une respiration correcte. Oh oui, c’est compliqué. Tu as l’impression de ne plus être un Yôkai, de retrouver ce désir sexuel que tu pensais avoir paumé il y a des siècles. Tu as vécu de nombreuses années, tu n’as eu cette attraction qu’une seule fois dans ta vie.
Jusqu’à aujourd’hui. Izanami est spéciale. Tu le sais. Tu commences à t’en rendre compte.
Sa main vient s’agripper à la tienne, comme pour rester connectée au moment, comme pour repousser la fin. Ton corps ne redescend pas de cet instant. Fatigué, affaibli par le venin de cette tentatrice, dans les nuages, tu maintiens encore Izanami contre toi. Ton bassin recule, le temps d’une seconde, pour sortir de ses cuisses.
Et tu te laisses tomber sur le côté, dans un soupir mi épuisé mi satisfait. Tu n’as pas lâché Izanami, l’emportant dans ta chute. Quelques frissons désagréables passent le long de ton dos, alors que tes dents viennent se planter dans son épaule.
L’une de tes mains vient attraper l’un de ses seins. Une autre se perd sur sa cuisse.
Tu te décales, te positionnes sur le dos, relâchant ton emprise sur elle, pour poser une troisième main sur ton front, et fermer les yeux. Profitant de ce calme, de cette chaleur enivrante, de son odeur et de sa présence.
La pièce est bien silencieuse tout à coup. Il est étrange que tout votre bordel cesse si soudainement. Tu n’as pas la force de continuer, même si ton cerveau serait prêt pour un autre round. Tu apprendrais à Izanami à ne pas t’infecter de son poison. La prochaine fois, tu l’interdiras les morsures.
Toutes les bonnes choses ont une fin. Il serait temps pour toi de partir. De laisser cette enfant se rendre compte, de tout ce qui vient de se passer. De ce que tu lui as encore pris.
Tu es rassuré, inconsciemment. Parce qu'il a l'air dans le même état que toi. Et que malgré ton inexpérience, le moment avait l'air de lui avoir plu, non? Son corps et son être avait su palier à ton manque d'entrainement? Il faut dire que c'est lui qui a tout fait. S'est servit de toi. Et le pire, ce que ça t'a plu. Toi qui t'entêtes toujours à avoir le contrôle sur tout. On dirait qu'entre les draps, tu préfères perdre pied.
Quand vous chutez, tes muscles se détendent au mieux, Et tu te laisse peser lourdement contre le corps de ton amant de la nuit, dont les dents t'arrachent un nouveau soupir, mélangé à un grognement, pourtant à peine assez fort pour se faire entendre. Tu es vidée de toute énergie, et tu ne t'es jamais sentie aussi sale, et pourtant, aussi bien, et aussi belle. Désirable. Désirée.
Sein comblant parfaitement le creux de sa main, se sent délaissé alors qu'il semble chercher à reprendre consistance, et s'étale sur le dos. Ta tête tourne encore. Ton corps lutte encore contre le contrecoup de cet orgasme qui t'as affaiblit. Malgré tout, tu te redresses, dans un bruissement de draps qui glisse sur ta peau satinée, et moite. Une main sur ton torse, tu t'y appuie pour te pencher au dessus de lui, et imposer ton visage devant le sien, au dessus. Ta crinière en bataille coule le long de tes joues, de ton front, et forme un rideau, un cocon verdâtre, qui vous isole un peu plus encore du monde extérieur. Tes yeux ambrés, encore couvert d'un fin voile de brume, chercher à capter les siens. Et, de son propre chef et pour la première fois, elle s'abaisse à son niveau pour dérober un baiser appuyé sur ses lèvres, de quelques secondes seulement. Un contact bref, mais chaud, Juste avant de murmurer, pendant que sa main glisse le long de ses muscles, et vient grimper sur sa gorge masculine, du bout de ses griffes.
« Dors avec moi ce soir.. »
Parce que tu n'as aucune envie de le voir partir. Surtout pas après ça.